CORPUS DES ÉTABLISSEMENTS ÉTAMPOIS
 
Philippe Fousse père et fils, accordeurs de pianos à Étampes
12 avenue de Dourdan, puis 8 rue du Théâtre,
puis 30 bis rue du Haut-Pavé, ...1902-1958...

Réclame pour Ph. Fousse dans l'Almanach de 1913    
Réclame dans l’Almanach de 1913
 
     Philippe Fousse père et fils ont accordé les pianos étampois pendant plus de cinquante ans, de 1902 à 1958 au moins. Curieusement, avant d’arriver à Étampes, Philippe Fousse père avait été employé de commerce à Caen, puis distillateur à Marolles-en-Hurepoix. Mais il s’acclimatera si bien à Étampes qu’il y obtiendra en 1924 les palmes académiques, en temps que professeur de musique. Son fils, après s’être illustré pendant la Grande Guerre, bien qu’invalide de guerre, continuera d’exercer le métier d’accordeur de pianos à Étampes au moins jusqu’en 1958.
B.G. 2016

Philippe Fousse, accordeur à Étampes
8 rue du Théâtre, ...1902-1958...


Signature de Philippe Fousse en 1902
Signature de Philippe Fousse en 1902

Réclame pour Philippe Fousse (1902)
Réclame dans l’Abeille du 27 septembre 1902


Réclame pour Ph. Fousse dans l'Almanach de 1913    
Réclame dans l’Almanach de 1913


Réclame pour Ph. Fousse dans l'Annuaire de 1925  
Réclame dans l’Annuaire de 1925


Réclame pour Ph. Fousse de 1935  
Réclame dans le Bulletin paroissial de Saint-Martin d’Étampes en 1935


1868
Naissance de Philippe Fousse en Suisse Philippe Fousse est né le 15 juillet 1868 à Monthey, dans le canton suisse du Valais, de nationalité française.
     Cf. infra, 1906.
1892
Naissance d’une fille à Caen Philippe Joseph Fousse, garçon de magasin à Caen, présente à l’hôtel de ville et reconnaît être le père de la fille qu’a eue de lui  Marie Émélie Léontine Apied, couturière. Il s’agit d’Andrée Ernestine Marie Fousse, née à Caen le 28 décembre 1892. Elle sera légitimée lors du mariage qui suit, se mariera à Étampes le 25 août 1921 avec Marie René Müller, et décèdera à Paris XIIIe arrondissement le 25 août 1977.
     AD14 2MI-EC 73, acte n°865.
1893
Mariage à Caen Mariage à Caen le 23 février 1893 entre d’une part Philippe Joseph Fousse employé de commerce, militaire de la réserve de l’armée active du vingt un février mil huit cent quatre vingt douze... demeurant de fait à Can rue Buquet numéro quatre et de droit chez es père et mère au Pré Saint Gervais (Seine) rue des Sept Arpents numéro deux” et d’autre part Léontine Émélie Victorine Le Dresseur, couturière ... née à Caen ... et y demeurant avec son oère rue de Vaucelles numéro souxante treize”.
     AD14 2MI-EC 1002, acte n°438.
1895
Naissance d’un fils à Caen Naissance à Caen le 4 juillet 1895 de Philippe Charles Aimé Fousse. Son père est qualifié employé de commerce. Il se mariera à Étampes le 14 décembre 1925 avec Tatiana Jeanne Isabelle Chevallier, et mourra à Gonesse le 2 décembre 1985.
     AD14 2MI-EC 1002, acte n°438.
1898
Décès de sa première épouse à Caen. L’acte de décès du 27 février 1898 qualifie la défunte, Léontine Émélie Victorine Le Dresseur, giletière, et son époux Philippe Jousse, employé de commerce.
     AD14 2MI-EC 1008, acte n°256.
1901
Recensement Lors du recensement d’Étampes de 1901, le n°12 avenue de Dourdan est occupé par François Poupier, 71 ans, truffier, et son épouse Antoinette Lafarge, 59 ans.
     AD91 6M 125 (saisie B. G.)
1901
Mariage à Marolles-en-Hurepoix “N°13 — Mariage entre Philippe Joseph Fousse et Marie Léontine Apied — L’an mil neuf cent un, le vingt-cinq avril, à dix heures du matin, devant nous Paul Étienne Jumentier, adjoint au maire remplissant en l’absence de ce dernier les fonctions d’officier de l’état civil de la commune de Marolles-en-Hurepoix, sont comparus: Le sieur Philippe Joseph Fousse, distillateur, né à Monthey, canton du Valais, Suisse, le quinze juillet mil huit cent soixante-huit, domicilié à Marolles-en-Hurepoix, fils légitime et majeur de Philippe Fousse, âgé de soixante-quatorze ans, et de Marie Charret, âgée de soixante-sept ans, tous deux sans profession et demeurant à Pantin (Seine) rue du Pré-Saint-Gervais numéro vingt-huit, veuf de Léontine Émélie Victorine Le Dresseur, décédée à Caen, département du Calvados, le vingt-sept février mil huit cent soixante-dix-huit [sic (quatre-vingt-dix-huit)]; les père et mère du futur donnent leur consentement au mariage de leur fils par acte authentique passé le vingt-deux avril mil neuf cent un devant maître Marie Gustave Chauffriat, notaire au dit Pantin; Et demoiselle Marie Léontine Apied, lingère, née à La Guerche, arrondissement de Saint-Amand, département du Cher, le dix-huit décembre mil huit cent soixante-douze, domiciliée chez ses père et mère, fille légitime et majeure de Louis Apied, agé de soixante ans et de Jeanne Breault, agée de cinquante-quatre ans, tous deux sans profession, et demeurant à Marolles-en-Hurepoix, ici présents et consentant au mariage de leur fille. Lesquels nous ont présenté leurs actes de naissance, l’acte de décès de la première épouse du futur, l’acte de consentement au mariage donné par les père et mère du futur; les actes de publication faits en notre commune les dimanches quatorze et vingt-un avril de la présente année, sans opposition, ainsi qu’il nous est apparu. Et après avoir visé ces pièces pour être annexées, nous en avons donné lecture aux parties comparantes assistées des quatre témoins ci-après nommés et qualifiés, ainsi que du chapitre six du titre de Mariage du code civil sur les droits et devoirs respectifs des époux; les comparants de ce interpellés, ont à l’instant déclaré qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage entre les futurs; Ensuite nous avons reçu la déclaration du sieur Philippe Joseph Fousse qu’il prend pour épouse la demoiselle Marie Léontine Apied, et celle de la demoiselle Marie Léontine Apied qu’elle prend pour époux sieur Philippe Joseph Fousse. En conséquence, nous avons déclaré, au nom de la loi, que le sieur Philippe Joseph Fousse et la demoiselle Marie Léontine Apied sont unis par le mariage. Tout ce que dessus fait publiquement en présence de messieurs André Fousse, encadreur, âgé de vingt-neuf ans, demeurant à Paris, numéro quarante, rue Secrétan, frère de l’époux, Étienne Apied, employé de chemin de fer, âgé de vingt-six ans, demeurant à Marolles-en-Hurepoix, non parent de l’époux;  Brunet Alexandre, contre-maître, âgé de cinquante-cinq ans, demeurant à Choisy-le-Roi, Seine, petit-cousin de l’épouse, Auguste Vallet, négociant, âgé de soixante ans, demeurant à Marolles-en-Hurepoix, non parent de l’épouse, qui ont signé avec les époux et avec nous, adjoint au maire, remplissant les fonctions d’officier de l’état civil qui avons dressé le présent acte, et en avons fait lecture aux parties et aux témoins. — [Signé:] Fousse — Marie Aupied — Apied — J. Brault — Brunet — Vallet — A. Fousse — E. Apied — E. Jumentier.      AD91 4E 3726 (saisie B. G.)
1902
Réclame “Accord et réparations de pianos M. Ph. Fousse, 12 avenue de Dourdan à Étampes, à l’honneur d’informer le public et les familles qu’il se charge de l’acord et des réparations de tous genres de pianos.
     Abeille d’Étampes 91/39 (27 septembre 1902), p. 4.
1902
Naissance d’une fille “N°17 — Jousse Jeanne Marguerite — L’an mil neuf cent deux, le sept février, à neuf heures du matin, par devant nous Charles Auguste Dujoncquoy, second adjoint, spécialement délégué par monsieur le maire de la ville d’Étampes, officier d’état civil de la dite ville, département de Seine-et-Oise, a comparu Philippe Joseph Fousse, professeur de musique, âgé de trente-trois ans, domicilié à Étampes, avenue de Dourdan, numéro dix, lequel nous a présenté une enfant du sexe féminin qu’il nous a dit être née avant-hier, à deux heures du soir, en son domicile, de lui et de Marie Léontine Apied, son épouse, sans profession, âgée de vingt-neuf ans, avec laquelle il demeure, et à laquelle enfant il a donné les prénoms de Jeanne Marguerite. Les dites déclaration et présentation faites en présence de Jean Delfan, limonadier, âgé de cinquante-cinq ans, demeurant à Étampes, avenue de Dourdan, numéro quatorze, et de Georges Pichot [sic], contrôleur du service électrique de la Compagnie d’Orléans, âgé de trente-un ans, demeurant aussi à Étampes, avenue susdite, numéro dix. Et ont le comparant et les témoins signé le présent acte, avec nous, adjoint susnommé, après lecture faite. — [Signé:] Ph. Fousse — Delfan — G. Pichaud — Aug. Dujoncquoy.
     AD91 4E 3642

Signature de Philippe Fousse en 1902
1906
Recensement Lors du recensement d’Étampes de 1906, on passe directement du n°10 au n°16, où sont enregistré quatre ménages, dont la famille Fousse: 1° Philippe Fousse, né en 1868 à Monthey, dans le canton suisse du Valais, de nationalité française, professseur de musique; 2° son épouse Marie Apied, née en 1872 à La Guerche, sans profession; 3° sa fille Andrée Fousse, née en 1892 à Caen; 4° son fils Philippe Fousse, né en 1895 à Caen; 5° sa fille Marguerite Fousse, née en 1902 à Étampes.
     AD91 6M 126 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1911
Recensement Le recensement d’Étampes de 1906 trouve toujours au n°16 de l’avenue de Dourdan, avec trois autres ménages, la famille Fousse: 1° Philippe Fousse, né en 1868 à Monthey, dans le canton suisse du Valais, de nationalité française, accordeur de pianos, patron; 2° son épouse Marie Apied, née en 1872 à La Guerche, sans profession; 3° sa fille Andrée Fousse, née en 1893 à Caen, couturière employée par Boutet; 4° son fils Philippe Fousse, né en 1895 à Caen, ébéniste employé chez Rauzet; 5° sa fille Marguerite Fousse, née en 1902 à Étampes.
     AD91 6M 127 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1913
Réclame “Accords de pianos et d’harmoniums Ph. Fousse, Étampes, 8, rue du Théâtre, 8, Étampes Réparations en tous genres Achat et vente Location Neuf et occasion.
     Almanach d’Étampes pour 1913.
1913-1975
Fiche matricule de Fousse fils “Nom: Fousse — Prénoms: Philippe Charles Aimé — Numéro matricule du recrutement: 234 — Classe de mobilisation: 1915 – Versailles. — État civil: Né le 3 juillet 1895 à Caen, canton du dit, département du Calvados, résidant à Étampes, canton du dit, département de Seine-et-Oise, profession d’accordeur de pianos. — Signalement: Cheveux noirs, yeux marron, front vertical, nez sinueux, visage long, menton saillant à fossette, taille: 1 mètre 67 centimètres, marques particulières: trous de variole joue gauche et nez. — Décision du conseil de révision et motifs: Inscrit sous le n°54 de la liste du canton d’Étampes, classé dans la 1e partie de la liste en 1914.  — Corps d’affectation dans l’armée active: 168e régiment d’infanterie, matricule 5354; 46e régiment d’infanterie; 76e régiment d’infanterie  matricule 9934; 130e régiment d’infanterie matricule 17682; 82e régiment d’artillerie lourde, matricule 025989; 85e régiment d’artillerie lourde, matricule11436; DM2. —Détail des services et mutations diverses: Incorporé à compter du 19 décembre 1914. Arrivé au corps le 20 décembre 1914, soldat de 2e classe le dit jour. Passé le 24 avril 1915 au 46e régiment d’infanterie (Exécution note de service n°4724 du 22 avril 1915 du général commandant les 1e et 2e subdivisions). Maintenu service armé et proposé pour changement d’arme (artillerie lourde à tracteurs) par la Commission de réforme de Mayenne du 17 décembre 1917. [Deux lignes censurées, faisant mention sans doute des raisons médicales de cette décision (B.G.)]. Passé le 7 juin 1915 au 76e régiment d’infanterie régiment d’infanterie. Soldat de 1e classe le 11 juillet 1916. Passé le 28 septembre 1916 au 130e régiment d’infanterie. Passé le 4 janvier 1918 au 82e régiment d’artillerie lourde. Maintenu service armé. Inapte deux mois par décision de la 1ère commission de réforme de la Seine du 28 mars 1918. [À nouveau deux lignes censurées, faisant mention sans doute des raisons médicales de cette décision (B.G.)] Passé le 26 juillet 1918 au 85e régiment d’artillerie lourde. DM 12687 3/3 du 20 juin 1918. Réformé définitivement et proposé pour une pension temporaire, invalidité 40%. Décision de la 3e CSR de la Seine du 20 avril 1920 [Une troisième fois deux lignes censurées, faisant mention sans doute des raisons médicales de cette décision (B.G.)] Se retire à Étampes 8 rue du Théâtre. Admis à une pension de retraite de 960 f., par arrêté du 4 août 1921 (Note ministérielle n°425833 du 13 août 1921.) avec jouissance du 20 avril 1920 au 19 avril 1922. Réformé défnitivement et proposé pour une pension temporaire invalidité 100% par la 3e comission de réforme de la Seine du 18 février 1922. [Une ligne censurée, portant la rasion médicale de cette décision.] Maintenu réformé définitivement et proposé pour une pension permanente, invalidité 100%, bénéficie de l’article 10 par la Commission de réforme de la Seine du 22 novembre 1923. — Campagnes: Intérieur du 20 décembre 1914 au 19 mai 1915 (CS); aux armées du 20 mai 1915 au 10 octobre 1915 (CD); Intérieur du 11 octobre 1915 au 27 septembre 1916 (BdG, CD); aux armées du 28 septembre 1916 au 31 mai 1917 (CD); Intérieur du 1er juin 1917 au 31 mai 1918 (BdG, C. Double); Intérieur du 1er juin 1918 au 30 septembre 1918 (C. Simple); aux armées du 30 septembre 1918 au 11 novembre 1918 (CD); aux armées du 12 novembre 1918 au 21 février 1919 (CS) — Blessures-Citations-Décorations: Blessé le 11 octobre 1915 à Suchez, 22 plaies cuisse droite, fesse, reins et bras par éclat de grenade. Cité à l’ordre du régiment N°75. Faisant partie de l’équipe des grenadiers de la compagnie, a participé à l’attaque du 11 octobre 1915. Croix de guerre, étoile de bronze. Blessé le 17 mai 1917 au Mont Cornillet, cuisse droite, pied droit par E. O. Décoré médaille militaire , décret présidentiel en date du 1er mai 1926, J.O. du 5 mai 1926. — [Dans la marge:] État signalétique le 30.5.26 au général commandant le département de Seine-et-Oise; le 23.10.26 au général commandant le département de Seine-et-Oise. — Localités successives habitées: 1975, «Clair Logis», place de la Gare, 91540 Mennecy.
     AD78 1R/RM 519, n°234 (saisie de Bernard Gineste, 2016).
1921
Andrée Ernestine Marie Fousse se mariera à Étampes le 25 août 1921 avec Marie René Müller.
     Cf. supra 1892.
1924
Officier d’Académie en 1924  Le ministre de l’instruction publique, des beaux-arts et de l’enseignement technique, vu les décrets des 24 décembre 1885, 25 mars 1921 et 4 février 1922, arrête: Sont nommés: [...] Officiers d’académie: [...] Fousse, Philippe-Joseph, professeur de musique à Étampes (Seine-et-Oise). [...]
     Journal officiel de la République française. Lois et décrets 56/119 (1er juin 1924), p. 4925 (saisie B.G.).
1925
Réclame “Accords et réparations de pianos et orgues Ph. Fousse 8, rue du Théâtre, Étampes  Pianos Erard, Pleyel, Caveau, Hertz, Klein, etc.  Atelier spécial pour la Réparations Achat et vente Location Reg. Com. Etampes n°910 Chèques postaux 490-44.
     Annuaire d’Étampes pour 1925.
1925
Ban de mariage de Philippe Fousse fils (1925)
     Abeille d’Étampes 114/53 (12 décembre 1925), p. 3.
1925
Mariage de Fousse fils à Étampes Philippe Charles Aimé Fousse se marie à Étampes le 14 décembre 1925 avec Tatiana Jeanne Isabelle Chevallier.
     Cf. supra 1895.
1926
Médaille militaire pour Fousse fils  Décoré médaille militaire , décret présidentiel en date du 1er mai 1926, J.O. du 5 mai 1926 (il avait déjà la Croix de guerre).
     Cf. supra 1914-1975.
1935
Réclame “Pianos Accords - réparations - locations - Échanges  Musique et instruments Ph. Fousse Accordeur de pianos et orgues 30 bis rue du Haut-Pavé à Étampes  R.C. 910.
     Bulletin paroissial de Saint-Martin d’Étampes en 1935.
1958
Mention dans l’Annuaire Fousse Philippe, accord. de piano, 3 r. du Haut-Pavé. Fousse Philippe, 30, rue Evézard.
     Le Familial 1958. Annuaire de la ville et de l’arrondissement d’Étampes, Étampes, Serge Vannier, 1958, p. 165.
1975
Fousse fils résidant à Mennecy «Clair Logis», place de la Gare, 91540 Mennecy.
     Cf. supra 1914-1975.
1985
Décès de Fousse fils Philippe Charles Aimé Fousse meurt à Gonesse le 2 décembre 1985.
      Cf. supra 1895.


BIBLIOGRAPHIE

Édition

     Bernard GINESTE, Jean-Michel ROUSSEAU, Bernard MÉTIVIER et qui voudra [éd.], «Philippe Fousse père et fils, accordeurs de pianos à Étampes (8 rue du Théâtre, ...1902-1935...)», in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/cee-fousse.html, depuis 2015.

Appel à contribution
       
     Nous faisons appel ici à tous les Étampois pour regrouper d’autres documents intéressant l’histoire de cet établissement et de tous les établissements privés et publics du pays étampois à travers les âges. Nous donnons la liste de ce pot-pourri, qui veut garder la mémoire de toutes les entreprises étampoises, ne serait-ce que sous la forme de modestes documents, dans la page «Corpus des établissements étampois», in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/index-cee.html, 2007.
 
 
Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
 
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