CORPUS DES ÉTABLISSEMENTS ÉTAMPOIS
 
Alfred Guffanti
Imprimeur-lithographe à Étampes
98 rue Saint-Jacques, 1835-1845 
 
Signature de Guffanti en 1838
Signature de Guffanti en 1838

     Alfred Guffanti, né à Paris, a été à imprimeur-lithographe à Étampes pendant une dizaine d’années, avant d’aller s’installer à Issoudun puis à Quimperlé. Nous sommes à la recherche d’exemples de ses publications étampoises, et nous vous invitons à regarder dans vos collections d’imprimés des années 1835-1845 si vous n’y trouveriez pas des faire-part ou autre documents quelconques qui seraient sortis de sa presse lithographique vers cette époque mal connue et peu étudiée de l’histoire d’Étampes.

Bernard Gineste, 2011

     Merci à Hervé Le Corre de nous avoir communiqué de nouvelles informations sur cette famille d'imprimeurs en 2013.



Alfred Guffanti
Imprimeur-lithographe à Étampes
98 rue Saint-Jacques, 1835-1845 


à l'attention de Monsieur Bernard Gineste

Monsieur,

Vous avez publié en ligne un article très intéressant et fort documenté sur l'imprimeur-lithographe Albert Guffanti. Je me permets de vous adresser une modeste contribution portant sur son activité entre les périodes étampoise et quimperloise : il obtient le 27 janvier 1844 des brevets d'imprimeur et de lithographe pour la ville d'Issoudun (Indre), "en échange de titres semblables dont il était pourvu pour la ville d'Étampes" (Bibliographie de la France, 1844, p. 60 ; voir également Bancelin-Dutertre, Annuaire de l'imprimerie et de la librairie, 1845, p. 200)
Par ailleurs, un Jean-Jacques-Frédéric Guffanti est breveté lithographe le 20 octobre 1821 à Paris ; il était également graveur et imprimeur en taille-douce ; je ne sais s'il y a un lien de parenté entre les deux. On trouve une belle lithographie due à ce Guffanti parisien sur Gallica, sous le titre : Souscription de 200 Billets de 50 Francs...
La Bibliographie de la France pour 1844 n'est pas disponible sur Gallica, mais elle a été numérisée par une célèbre firme à lunettes d'après l'exemplaire de la BM de Lyon, et est donc aisément consultable.
Je ne suis pas Étampois moi-même, mais je m'intéresse aux imprimeurs, et vous remercie pour l'ensemble des informations dont j'ai pris connaissance en visitant votre site.

Sincèrement vôtre,
Hervé Le Corre

1802-1835
Avant son arrivée à Étampes

1802
Naissance d’Albert Paul Emile Guffanty à Paris, département de la Seine (dixième arrondissement), le neuf pluviose an dix (vingt neuf janvier mil huit cent deux).
     Cf. infra.
1813
Le 11 juillet, décès à Paris du père de Guffanty, Pierre Joseph Guffanti, en son vivant employé”.
     Cf. infra.
1821
Un Jean-Jacques-Frédéric Guffanti est breveté lithographe le 20 octobre 1821 à Paris; il était graveur et imprimeur en taille-douce; on ne connaît pas son lien de parenté exact avec Albert.
     Communication d'Hervé Le Corre (courriel au Corpus Étampois du samedi 8 juin 2013)
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On trouve une belle lithographie due à ce Jean-Jacques-Frédéric Guffanti parisien sur Gallica, sous le titre: Souscription de 200 Billets de 50 Francs.
     Communication d'Hervé Le Corre (courriel au Corpus Étampois du samedi 8 juin 2013)
Avant 1835
Séjour de Guffanti à Melun.
     Cf. infra.
1835-1843
Séjour à Étampes

1835
     Le 25 avril, mariage de Guffanti: “Du samedi vingt cinq avril mil huit cent trente cinq, heure de midi. — Sont comparus devant nous Christophe Nicolas Brichard, premier adjoint au maire d’Etampes, officier public de l’état civil de la dite ville, — le sieur Albert Paul Emile Guffanti, imprimeur lithographe, âgé de trente trois ans, domicilié de cette ville, rue Saint Jacques n°98, né à Paris, département de la Seine (dixième arrondissement), le neuf pluviose an dix (vingt neuf janvier mil huit cent deux), fils majeur et en légitime mariage de feu Pierre Joseph Guffanti, en son vivant employé, décédé à Paris, le onze juillet mil huit cent treize, et de Elisabeth Gentilhomme, son épouse, sa veuve, âgée de soixante douze ans, domiciliée à Fontainebleau, département de Seine et Marne, rue Marrier n°8. — et la demoiselle Anne Eliacinthe Breton, couturière, âgée de vingt six ans, domiciliée de cette ville, rue Saint Jacques, n°140, née au dit lieu, le dix avril mil huit cent neuf, fille majeure et en légitime mariage de Etienne Gilles Breton, charron, âgé de cinquante cinq ans, et de Anne Mottereau, son épouse, âgée de cinquante sept ans, domiciliés à Etampes, même rue Saint Jacques, n°109. — lesquels nous ont représenté leurs actes de naissance, l’acte de décès du père du futur, le consentement au présent mariage donné par la mère du dit futur par acte passé à Fontainebleau le seize avril présent mois devant maître Seauiller (?), notaire en la dite ville, enregistré et légalisé le même jour au dit lieu, et les actes de publication du dit mariage faits tant en cette ville qu’en celle de Melun, département de Seine et Marne, lieu du dernier domicile du futur, les dimanches cinq et douze du courant, sans opposition. — et après avoir visé ces pièces pour être annexées, nous en avons donné lecture aux parties comparantes assistées des quatre témoins ci-après nommés et qualifiés, ainsi que du chapitre six du titre du mariage sur les droits et devoirs respectifs des époux. — Ensuite, nous avons reçu la déclaration du sieur Albert Paul Emile Guffanti, qu’il prend pour sa légitime épouse la demoiselle Anne Eliacinthe Breton, et celle de la demoiselle Anne Eliacinthe Breton qu’elle prend pour son légitime époux le sieur Albert Paul Emile Guffanti, lesquels, conformément à l’avis du conseil d’Etat du trente mars mil huit cent huit, ont déclaré et affirmé par serment que c’est par erreur si dans l’acte de décès du père du futur, son nom de famille est écrit Suffanty ; que ce nom est et s’écrit Guffanti, que c’est aussi par erreur si dans l’acte de naissance de la future le nom de famille de sa mère est écrit Montereau; que ce nom est et s’écrit Mottereau, ce que les témoins ont également déclaré et affirmé par serment. — En conséquence nous avons déclaré au nom de la loi que le sieur Albert Paul Emile Guffanti et la demoiselle Anne Eliacinte Breton sont unis par le mariage. — Tout ce que dessus fait à Etampes en l’ôtel de la mairie, les dits jour, mois et an, en présence et du consentement des père et mère de l’épouse, et aussi en présence des sieurs Jean Baptiste Veschueren, ébéniste, âgé de trente six ans, Valentin Leclerc, entrepreneur de voitures publiques, âgé de quarante un ans, cousin de l’époux, Louis Nicolas Drot, épicier, âgé de quarante neuf ans, oncle de la future à cause de Madeleine Catherine Françoise Breton son épouse, et Louis Ninon Fagret, serrurier, âgé de vingt huit ans, cousin germain de l’épouse, à cause de Lidie Caroline Madeleine Drot son épouse, domciciliés de cette ville, qui ont signé avec les époux, le père de l’épouse et nous adjoint susnomé; la mère de l’épouse a déclaré ne le savoir, après lecture faite. — [Signé:] A. P. E. Guffanti — A. E. Breton — E. G. Breton — J. D. Verschueren — V. Leclerc — Drot — Fagret — Brichard [paraphe].
     Registre d’état civil d’Étampes (saisie de Bernard Gineste, 2011)



Signature de Guffanti en 1838

Signature de Guffanti en 1838
1836
Le 23 février, naissance de la première fille de Guffanti: “Du mardi vingt trois février mil huit cent trente six, deux heures de relevée. — Acte de naissance de Ernestine Joséphine Buffanti (1), du sexe féminin, née ce jour à une heure du matin chez ses père et mère, fille en légitime mariage de Albert Paul Emile Guffanti, imprimeur en lithographie, âgé de trente quatre ans, et de Anne Eliacinthe Breton, son épouse, âgée de vingt sept ans, domiciliés de cette ville, rue Saint Jacques n°98. — Les témoins ont été les sieurs Augustin Paviot, âgé de quarante cinq ans, et Charles Paul Chauvet, âgé de trente ans, tous deux employés à cette mairie, domiciliés de cette ville. — Sur la représentation de l’enfant et sur la déclaration du père d’icelui, qui a, ainsi que les témoins, signé avec nous, premier adjoint au maire d’Etampes, après lecture faite. — [Signé:] Guffanti — Paviot — Chauvet Simonneau — Brichard [paraphe].”
     Registre d’état civil d’Étampes (saisie de Bernard Gineste, 2011)

     (1) Ernestine Buffanti, veuve de Charles Victor Toussard décédé le 22 février 1878 à Elbeuf (Seine-Maritime), domiciliée 31 rue Charlot à Paris, se remariera à la mairie du IIIe arrondissement, le 8 janvier 1879, à Charles Audran, né à Quimperlé le 18 mars 1834, inspecteur des contributions directes à Tout-Croix (Finistère) et fils du maire de Quimperlé.
1836
Le recensement de 1836 trouve au n°98 de la rue Saint-Jacques: Albert Guffanti, lithographe, 33 ans Hyacinthe Breton, sa femme, 27 ans Ernestine Guffanti, leur fille, 4 mois Honoré Bourdeau, propriétaire, 75 ans Adélaïde Bouché, domestique, 53 ans Victoire Charpentier, veuve Bizard, sans profession, 56 ans”.
     Recensement de 1836, réédition numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales de l’Essonne (saisie de Bernard Gineste 2011).
1838
Le 27 août, naissance de la deuxième fille de Guffanti: “Du mardi vingt huit août mil huit cent trente huit, onze heures du matin. — Acte de naissance de Mathilde Eugénie Guffanti (1), du sexe féminin, née d’hier à sept heures du soir chez ses père et mère, fille en légitime mariage de Albert Paul Emile Guffanti, imprimeur, âgé de trente six ans, et de Anne Eliacinthe Breton, son épouse, âgée de vingt neuf ans, domiciliés de cette ville, rue Saint Jacques n°98. — Les témoins ont été les sieurs Etienne Breton, tailleur d’habits, âgé de vingt cinq ans, oncle maternel de l’enfant, et Pierre Laporte, commissaire de police de cette ville, âgé de quarante un an, domiciliés de cette ville. — Sur la représentation de l’enfant et sur la déclaration du père d’icelui, qui a, ainsi que les témoins, signé avec nous Christophe Nicolas Brichard, premier adjoint spécialement délégué par le maire d’Etampes, après lecture faite. — [Signé:] Laporte — Guffanti — Etienne Breton — Brichard [paraphe].
     Registre d’état civil d’Étampes (saisie de Bernard Gineste, 2011).

     (1) Mathilde Guffanti épousera Louis Alexandre Guéroult, bijoutier à Paris. Leur fils Georges Albert Guéroult mourra à  Saulx-les-Chartreux le 18 juin 1863, âgé de deux mois (d'après cette page d'actes de Saulx-les-Chartreux mise en ligne par l'association Epinay Généalogie).
1839
Le 5 septembre, Guffanti reçoit son brevet d’imprimeur, à ce que signale cette année-là la Bibliographie de la France: Journal de l’imprimerie. Administration. Nominations d’imprimeurs et mutations de brevets. [...] Guffanti (Albert-Paul-Emile), à Etampes, 5 sept. [...]”.
     Bibliographie de la France, ou Journal général de l’imprimerie et de la librairie, et des cartes géographiques, gravures, lithographies et oeuvres de musiques. XXVIIIe année [624 p.], Paris, Pillet aîné, 1839, p. 468.
1840
En janvier, impression d’un faire-part de décès du vicomte de Viart, dont un exemplaire était mis en vente en ligne en 2001 par la Librairie Sylvestrone, pour 45 euros: Viart, Charles de Faire-part de décès du vicomte Charles de Viart —  Etampes, Guffanti, 1839. —  manque la partie supérieure du faire-part. —  décédé le 30 décembre 1839 en son château de Brunehaut près Etampes. Personnes citées: vicomtesse de Viart, des Rotours, de la Boire, de Hansy, de Camas, de Colonia.
     Site Galaxidion, à cette adresse, en ligne en 2011.
1842
Guffanti est signalé par le Bottin comme l’un des deux éditeurs actifs à Étampes, avec Durandet: Imprimeurs, Durandet. Guffanti, lithog. et autog.
     Sébastien BOTTIN (1764-1853), «Arrondissement d’Étampes», in ID., Statistique annuelle de l’industrie. Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens de la France [1276 p.], Paris, Bureau de l’Almanach du commerce, 1842, pp. 972-974, spéc. p. 974.
1844-1845
Séjour à Issoudun
1844
Albert Guffanti obtient le 27 janvier 1844 des brevets d'imprimeur et de lithographe pour la ville d'Issoudun (Indre), “en échange de titres semblables dont il était pourvu pour la ville d'Étampes”. Il s'y trouve encore en 1845.
      Bibliographie de la France, 1844 (numérisée par Google Books, p. 60 et BANCELIN-DUTERTRE, Annuaire de l'imprimerie et de la librairie, 1845, p. 200, cités par Hervé Le Corre (courriel au Corpus Étampois du samedi 8 juin 2013)
1845-1860
Séjour à Quimperlé

1845-1860
Guffanti est signalé comme imprimeur à Quimperlé par l’historien local Fanch Postic: “Si elle ne peut être comparée à celle d’autres villes bretonnes, Quimperlé a toutefois connu au XIXe siècle une activité non négligeable de presse et d’édition. Jean-Pierre Caën, dit Lion, y obtient dès 1828 le premier brevet d’imprimeur, mais ses activités ne s’intensifient qu’à partir de 1833. [...] Louis-Eléonore Vallot lui succède en 1842, mais ne résiste pas très longtemps. En 1845, Albert Guffanti-Breton s’installe plus durablement. Créant aussitôt son propre journal,  Le Publicateur du Finistère, il édite également différents ouvrages en français et en breton, des chansons sur feuilles volantes... On lui doit aussi, en 1847, l’édition de la toute première Histoire de Quimperlé (1). Mais l’imprimeur se voit à son tour contraint de renoncer et de céder, en 1860, son brevet au Lorientais Théophile Clairet [...].
     Fanch POSTIC, «Histoire de la presse et de l’édition à Quimperlé (1re partie)» [28 p.], in Bulletin de la Société archéologique du Finistère 131 (2002), pp. 407-434. D’après un résumé en ligne sur le site Refdoc, http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=15083139, en ligne en 2011.

     (1) Je n'ai trouvé ni à la B.N.F. ni ailleurs de trace de cet ouvrage (B.G.)
1845-1860
D’après le site Topic-Topos, “au milieu du XIXe siècle, l’imprimeur Guiffanti-Breton fait reconstruire cette bâtisse [19 rue Savary à Quimperlé] dont la façade est agrémentée de deux bandeaux sous deux lucarnes. L’atelier se trouve au premier étage, tandis qu’une partie du rez-de-chaussée est occupée par le commerce de sa femme. L’homme crée en 1845 Le Publicateur du Finistère, un journal conservateur qui disparaîtra en 1903. Il vend son local et son entreprise en 1860 à Louis-Théophile Clairet (1832-1904)”.
      ANONYME, “Ancienne imprimerie Clairet, Quimperlé” (avec une photographie récente de la maison où habita à partir de 1845 Albert Guffanti), in Topic-Topos (rubrique: Patrimoine industriel et artisanal), http://fr.topic-topos.com/ancienne-imprimerie-clairet-quimperle, en ligne en 2011.
1845
Le 4 octobre 1845 paraît le premier numéro d’un journal hebdomadaire lancé à Quimperlé par Guffanti pour remplacer le défunt Annonciateur de Quimperlé, et qui subsistera jusqu’en 1903: Le Publicateur du Finistère, littérature, commerce, industrie, agriculture, annonces diverses et judiciaires (36 cm, puis 50 cm).
    Site Opale-Plus de la BNF.
1847
Guffanti publie un tiré à part signé de Théophile Blin, Réponse à la lettre de M. l’adjoint au maire de la ville de Quimperlé, insérée dans Le Publicateur, à la date du 29 mai [in-f° plano (signé: Blin, membre de la commission d’approvisionnements de Quimperlé, 30 mai 1847)], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, sans date.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1848
Guffanti publie un tiré à part signé de Faugeyroux, Réponse du citoyen maire de... Scaër au mémoire dénonciatif du citoyen de Trédern et autres conseillers municipaux de la dite commune... en date du 18 juillet 1848 [in-4°; 4 p.(signé: Faugeyroux)], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton,1848.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1849
Guffanti publie une traduction en breton du livre biblique de la Genèse par Jean-Guillaume Henry (1803-1880), Skrituriou Sakr. Genes, pe levr ar c’ heneliez, lekeat e brezounek gand ann aotrou Iann-Willou Herry [in-16; VIII+226 p.; en français: “Les Saintes Écritures, la Genèse”], E Kemperle (Quimperlé), moulet e ti Guffanti-Breton, 1849.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1851
Guffanti publie un ouvrage en breton, Kanaouen ann durzunel [in-12; pièce; en français: “La tourterelle”], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1851.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1851
Guffanti publie une notice historique signée de  J. Lagillardaie, Le Général Hervo, né à Quimperlé, le 11 septembre 1766 [in-8°; 26 p.], Quimpoerlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1851.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1855
Guffanti publie un poème acrostiche en latin signé d’un prêtre catholique, Tabourdet, In honorem Beatae Mariae, semper virginis, Deiparae, summe immaculatae, sine labe conceptae, carmen acrostichis [in-f° plan; en français: “Poème acrostiche en l’honneur de la bienheureuse Marie toujours vierge mère de Dieu, parfaitement immaculée, conçue sans péché”], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1855.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1857
Guffanti publie un essai de l’avocat Félix Briant du Lescoët, Du Problème de la navigation aérienne [in-8°; 11 p.], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1857.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1858
Sylvain Peyron (négociant), Mémoire sur le défrichement des Landes de Bretagne, par M. Peyron [in-8°; 14 p.], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1858.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1858
Jean-Guillaume Henry (1803-1880), Buez Hor Zalver Jezuz-Krist... kennighet d’ar vretouned gant ann aotrou lann-Willou Herry [in-12; II+422 p.; en français: “Vie de Notre Sauveur Jésus-Christ”], E Kemperle (Quimperlé), moulet e ti Guffanti-Breton, 1858.
     Site Opale-Plus de la BNF.
1860-?
Retraite à Paris?






Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE
 
Édition

     Bernard GINESTE & Hervé LE CORRE [éd.], «Albert Guffanti, imprimeur-lithographe à Étampes (1835-1845)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-guffanti.html, 2011-2013.

Autres sources

     Fanch POSTIC, «Histoire de la presse et de l’édition à Quimperlé (1re partie)» [28 p.], in Bulletin de la Société archéologique du Finistère 131 (2002), pp. 407-434.

Qui possèderait un document quelconque imprimé à Étampes par Albert Guffanti entre 1835 et 1845?
       
     Nous faisons appel ici à tous les Étampois pour regrouper d’autres documents intéressant l’histoire de tous les établissements privés et publics du pays étampois à travers les âges. Nous donnons la liste de ce pot-pourri, qui veut garder la mémoire de toutes les entreprises étampoises, ne serait-ce que sous la forme de modestes documents, dans la page «Corpus des établissements étampois», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/index-cee.html, 2007.
 
 
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