CORPUS DES ÉTABLISSEMENTS ÉTAMPOIS
 
Corpus Étampois
Le moulin de Brunehaut
compilation
     
Le moulin de Brunehaut (détail d'une gravure de 1808)
Le moulin de Brunehaut en 1808 (détail d’une gravure de Constant Bourgeois)

Le moulin de Brunehaut (détail d'une gravure de 1808)
Le moulin de Brunehaut en 1808 (gravure reproduite vers 1907 par la carte postale de Paul Allorge Ee 10)

     On se propose dans cette page de réunir tout ce qu’on aura pu savoir du moulin de Brunehaut, à savoir tous les renseignements, les documents et les références bibliographiques ou archivistiques qu’on voudra bien nous adresser. On mentionnera le nom de tous les contributeurs qui n’auront pas demandé à rester anonymes.

Plan d'assemblage du cadatre (1824)
Plan d’assemblage du cadatre (1824)

Cadastre de 1824, feuille 6
Feuille 6 du cadastre (1824)

Plan du Juineteau, vers 1830 (ADE 3O C9)
Détail d’un plan du Juineteau vers 1830 (AME 3O C9, cliché Gineste)

Plan d'une date à préciser (AD 7S 199, cliché de Frédéric Gatineau)
Plan d’une date à préciser (AD91 7S 199, cliché de Frédéric Gatineau)

Plan de 1858 (AD91 7S 33)
Plan de 1858 (AD91 7S 33, cliché Gatineau)

Plan de 1858 (AD91 7S 33)
Même plan de 1858 (AD91 7S 33,
cliché Gatineau)


Faire-part de décès de Charles de Viart (1872)
Faire-part de décès de Charles de Viart (1872)


Le moulin en location en 1883
Le moulin en location en septembre 1883


Cliché de 1907 (carte postale Allorge n°4)
Dessin non daté reproduit par la carte postale de Paule Allorge n°4 (vers 1907),
repiquée par l’éditeur local Guilloteau-Pineau

Cliché de 1907 (carte postale Allorge n°4)
 Même dessin, reproduit par l’éditeur local Guilloteau-Pineau

Réfection du pont (AD91, cliché de Frédéric Gatineau)
Plan du nouveau pont (AD91, cote et date à préciser, cliché de Frédéric Gatineau)

Vente du moulin en 1902

Cliché de 1903 (carte postale Mulard n°504)
Cliché de 1903 (carte postale Mulard n°504)

Cliché de 1903 (carte postale Trianon n°1620)
Cliché de 1903 (carte postale Trianon n°1620)

Cliché de 1908 (carte postale Guilloteau-Pineau)
 Cliché de 1908 (carte postale de Guilloteau-Pineau)

Cliché de 1908 (carte postale Guilloteau-Pineau)
 Détail du même cliché de 1908 (carte postale de Guilloteau-Pineau)

Cliché de 1909 (carte postale Rameau)
Cliché de 1909 environ (carte postale Rameau)

Le moulin de Brunehaut (carte postale Rameau n°76)
Même cliché de Rameau, sous le n°76

Moulin de Brunehaut (même cliché de Rameau, repris par l'éditeur local Sagot)
Même cliché de Rameau, sous le nom de l’éditeur local Sagot



Cliché pris vers 1918 (carte postale Ducoup)
Cliché pris vers 1918 (carte postale de l’éditeur local Ducoup)

Vue aérienne vers 1959 (Carte postale Lapie n°6)
Vue aérienne vers 1959 (Carte postale Lapie n°6)

Le moulin de Brunehaut
Renseignements disponibles


Date
Renseignements disponibles.
Sources
1762
Le 4 avril, naissance et baptême à Saint-Basile d’Étampes de Charles de Viart (1762-1839), futur fondateur du moulin.
Charles Forteau, SHACEH 6 (1900), pp. 105-109 (ici).
1762-1849
Notice sur Charles de Viart, fondateur du moulin, par Léon Marquis: “Viart (Charles, vicomte de), député du collège électoral d’Étampes de 1842 à 1846, né à Étampes en 1762, mort le 29 décembre 1849 [corrigez: 1839 (B.G.)]. Auteur du Jardiniste moderne, contenant une description du parc de Brunehaut: 1re édition, Paris, Petit, 1819, in-18 de 184 pages; 2e édition, Paris, Pichard, 1827, in-18 de 224 pages. Il a encore publié une Chanson nouvelle dédiée aux jeunes écoliers d’Étampes, autog. de Colliard, à Paris, 1825, in-4°, chanson en neuf couplets relative à une partie de plaisir faite dans le parc de Brunehaut par une société de jeunes garçons et de jeunes filles d’Étampes.
Les rues d’Étampes et ses monuments, Étampes, Brière, 1881, p. 372.
1797
Le 7 août Charles de Viard propriétaire de Brunehaut obtient l’autorisation de construire un moulin.
SV&SH 69, sans référence.
1798
Construction du moulin. Selon le site Topic Topos, c’est d’abord un petit bâtiment et “la roue, hors œuvre, est verticale et possède un arbre en bois qui repose d’un côté sur la façade latérale du moulin et de l’autre sur un pivot maçonné délimitant un canal de décharge et un canal d’arrivée d’eau”.
Site Topic-topos, sans référence (ici).
peu après
Installation d’une deuxième roue.
SV&SH 69, sans référence.
1806
Le 4 août, fête de Morigny, des mauvais plaisants “ont jeté dans l’eau en amont du moulin deux perches de bois d’aulne de 5 m 495 de long et de 271 mm de tour” qui causent au moulin des dégâtes chiffrés à 40 francs.
SV&SH 69, alléguant AD91 3U 2641 - 448.
1808
Dessin de Constant Bourgeois, gravé en 1808 par F. Geissler.
Dont un détail reproduit ci-dessus. Gravure reproduite par la carte postale Ee4 de Paul Allorge, elle-même repiquée sous deux formes par l’éditeur local Guilloteau-Pineau (ici).
1800-1820
Le moulin aurait été agrandi pendant les deux premières décennies du XIXe siècle, comprenant alors deux roues”.
Site Topic-topos, sans référence (ici).
1819
En avril, publication par Amédée de Viart de: Le jardiniste moderne, 1ère édition, ouvrage plagié en 1825 par le Traité de la composition et de l’ornement des jardins.
Préface de la 2e édition. (Merci à Bruno Liesen, de lUniversité libre de Bruxelles, de la correction du prénom de lauteur, Amédée et non Charles, lerreur provenant de la notice de la BnF - 2015)
1829
Charles de Viart publie la 2e édition de: Le jardiniste moderne, où il donne en exemple l’aménagement de son parc de Brunehaut, dont le moulin est considéré comme un ornement: “Les bâtiments rustiques et les chaumières serviront d’abris à des objets simples et champêtres comme eux; ils offriront des retraites aux troupeaux, ou seront le dépôt des filets et autres ustensiles nécessaires à la pêche, et par ces moyens, ou bien d’autres encore, procureront des jouissances qui se rattachent à l’art des jardins. — L’agréable se réunissant à l’utile, ne peut s’offrir plus avantageusement que sous l’aspect d’un moulin mû par un courant d’eau limpide. Tous les bâtiments nécessaires à son exploitation y seront disposés d’une manière pittoresque leur forme peut acquérir beaucoup de grâce et de variété, sans s’éloigner du caractère qui leur convient. La partie [p.111] particulièrement consacrée à l’usine doit s’élever et se faire remarquer au milieu des autres, qui n’en sont que les accessoires. La vue des vannes et des différents ponts attachés à l’établissement, le bruit cadencé du moulin, le mouvement des roues (bien disposées pour laisser jouir de tout l’effet que les eaux leur procurent) tous ces objets adroitement combinés composeront un tableau peu commun qui captivera long-temps. — Les bâtiments des basses-cours et des fermes peuvent, comme ceux des moulins, produire la double impression d’utilité et d’agrément, quand leur position permet de les faire entrer dans l’ensemble de quelque paysage. Ils seront alors plus ou moins rustiques, suivant le caractère [p.112] du site où ils se trouveront placés, et ils devront toujours s’offrir à l’œil sous une forme pittoresque. La disposition d’un abreuvoir, des bassins à laver, l’érection d’une fontaine dans un bocage peu éloigné, seront des coups de pinceau précieux à ajouter à ces autres tableaux en réalité. [...] [p.217] [...] — On descend dans les bois jusque sur les prairies, que l’on traverse pour arriver à un moulin. Cette fabrique, d’un grand effet, a l’avantage de réunir l’utile à l’agréable; les deux roues que l’eau y met en mouvement, sont d’un assez bon produit, et forment, avec la masse des [p.218] bâtiments qui composent rétablissement, un ensemble très-pittoresque. — Plus bas, un simple asile de construction rustique, et sur le bord des eaux, renferme des filets et tous les instruments de la pêche. Vous vous arrêtez involontairement à cet endroit, qui offre un joli point de vue et une fraîcheur délicieuse. — Le cours de la rivière indique naturellement celui du sentier qui la suit assez long-temps; si l’on s’en écarte pour percer au fond d’un grand massif touffu et planté d’ifs qui disposent au recueillement en annonçant un monument de deuil, on en revient toujours pénétré d’un profond sentiment de mélancolie. — La rivière, un peu plus loin, forme un grand circuit où un banc se trouve placé [p.219] vis-à-vis le confluent de la Juine; on y jouit d’agréables échappées de perspective, qui se succèdent sur la route, jusqu’au moment où la vue se déploie en liberté sur la surface transparente des eaux du lac, qu’on voit de là dans presque toute son étendue.
Amédée de Viart, Le jardiniste moderne, guide des propriétaires qui s’occupent de la composition de leurs jardins ou de l’embellissement de leur campagne [17 cm; 224 p.; 1 planche], Paris, Pichard, 1827, pp. 110-112 et 217-219 (dont une réédition numérique par la BnF (ici).
1830 env.
Le moulin est figuré sur un plan du Juineteau sous le nom: Moulins de M. Deviard.
Archives municipales ADE 3O C9 (ici)
1834
Le meunier est autorisé à abriter ses roues sous un toit de toile pendant les gelées, du 1er décembre au 15 mars.
SV&SH 69, sans référence.
1839
Le 29 avril, mariage d’Amédée de Viart avec Marie-Agathe Gigault de Crisenoy (1821-1905).

1839
Le 30 décembre, décès du vicomte Charles de Viart, dont un faire-part en vente en 2012 sur Internet, dont le vendeur donne la description suivante: “Faire-part de décès du vicomte Charles de Viart (...) Décédé le 30 décembre 1839* en son château de Brunehaut près Etampes. Personnes citées: vicomtesse de Viart, des Rotours, de la Boire, de Hansy, de Camas, de Colonia. (...) Éditeur: Guffanti, Etampes. (...) Date d’édition: 1839”.
eBay en 2012.
* Bizarrement, Léon Marquis donne la date du 29 décembre 1849.
1848
En 1848, devant Godin à Etampes, Amédée de Viard est déclaré seul héritier du vicomte Charles.

1858
Le moulin est figuré sur un plan.
AD91 7S 33 (ici)
1863
Viard autorise le meunier à ajouter une charpente.
SV&SH 69, sans référence.
1865
Incendie du moulin.
SV&SH 69, sans référence. Site Topic-topos, sans référence (ici).
1866
Reconstruction du moulin.
SV&SH 69, sans référence.
1866
Il est reconstruit sur cinq étages, avec une seule roue.
Site Topic-topos, sans référence (ici).
1868
Le 18 juillet, mort à Paris d’Amée de Viart. Inventaire après décès du vicomte Amédée de Viard.

1872
Le 6 janvier, mort au château de Morigny de Charles de Viart, âgé de 39 ans. Dont un faire-part en vente sur Internet en 2012, ainsi décrit par le vendeur: “Monsieur Le Vicomte Charles De Viart décédé en son Château de Brunehaut, à l’âge de 32 ans le 6 janvier 1872 (...) Château de Brunehaut, par Morigny-Champigny (Essonne) le 12 janvier 1872 (...) Familles  apparentées: De Viart; De Crisenoy; De Coubertin; De Lyonne; Des Rotours; De Hansy; Pallu; De Colonia; De Camas; De Lapreugne; De Crisenoy De Lyonne; De Chaponay; De Biencourt; De Lurieu”.
Faire-part en vente sur internet en 2012 (dont photo ci-dessus)
1883
Le moulin de Brunehaut en location: “Etude de Me Prat-Marca, notaire à Etampes. A louer pour entrer en juissance de suite, le moulin de Brunehaut situé commune de Morigny, avec deux pièces de prés. S’adresser, pour tous renseignements: à Me Prat-Marca, notaire.”
Abeille d’Étampes (1er septembre 1883), p. 3 (ici).
1899
Le moulin tourne grâce à une roue hydaulique mais aussi un moteur à gaz.
SV&SH 69, sans référence.
1901
“Le Congrès de la Meunerie. — Cette semaine a eu lieu à Paris le 13e Congrès de l’Association de la Meunerie française. Les délibérations ont duré cinq jours. Elles ont été comme d’usage remplies de discussions intéressantes, notamment à propos de la mévente des blés et des relations entre les agriculteurs et les meuniers . — Parmi les vœux émis il faut citer des vœux tendant à l’institution d’une commission extra-parlementaire dans laquelle seraient appelés des représentants de l’agriculture et de la meunerie pour l’étude de la question de blé; à l’amélioration des farines pour l’armée, ce qui favoriserait la vente du blé; à la formation de syndicats mixtes pour les cultivateurs, les meuniers et les boulangers; à l’interdiction des latitudes accordées par l’entrée en franchise des petites quantités de pain nécessaires aux besoins ménagers; à la suppression du double droit frappant actuellement les meuniers; à la représentation de l’industrie de la meunerie dans le conseil supérieur du commerce et le comité consultatif des chemins de fer, etc. — Des médailles d’honneur ont été décernées au nom de l’Association nationale de la meunerie. A M. Julien Girard, contremaître chez M. Léon Potheau, meunier à Étampes, qui s’est élevé par son travail à la situation de contremaître et fait partie depuis quarante ans du personnel de cette honorable maison; médaille d’or, la seule qui ait été accordée, à M. Louis Jacquemart, chauffeur-mécanicien, chez M. Charles Poisson, à Morigny, où il est depuis trente ans et où il s’est fait remarquer par son initiative et son esprit laborieux: une médaille d’argent. — Le banquet traditionnel a clôturé le Congrès.”
Abeille d’Étampes 90/6 (8 juin 1901), p. 3 (saisie BG 2012). Mais il n’est pas certain que ceci concerne le moulin de Brunehaut à cette date.
1902
Le 19 juin mise en vente du domaine du Morigny, y compris le moulin: “Etudes de Me Prat-Marca, notaire à Etampes. Et Me Bachelez, notaire à Paris. —  A vendre par adjudication, même sur une enchère, en un seul lot, à Etampes, en l'étude de Me Prat-Marca, notaire, et par le ministère du dit Me Prat-Marca etd e Me Bachelez, notaire à Paris, le jeudi 19 juin 1902, à deux heures précises, le Domaine de Brunehaut, situé commune de Morigny  près Etampes, comprenant : —  Premièrement. —  Un château de construction moderne avec grand par dessiné, planté d'arbres de haute futaie, traversé par des rivières ; vastes communs ; potager entouré de murs ; maisons de concierge et de jardinier. —  Très belle pièce d'eau avec deux îles au milieu. Le tout d'une contenance de 52 hectares environs. —  Deuxièmement. —  Un moulin à eau monté à cylindres, faisant de blé farine, situé à l'extrémité du parc vers Morigny, consistant en une maison d'ahbitation, vastes magasins, communs, jardin et prairie. Loué par authentique 6.500 franc annuellement. —  Troisièmement. —  Bâtiments composant l'ancien corps de ferme de Malassis. —  Quatrièmement. —  Et 16 hectares environ de carrière, Sapins, Bois, Prés et Aulnaies en dehors du parc, et non loués.—  Mise à prix : 275.000 francs. —  Faculté pour l'adjudicataire de prendre le mobilier pour le montant de la prisée faite dans l'inventaire, et obligation d'en payer le prix comptant. —  S'adresser, pour visiter : sur les lieux, les dimanche, mardi et jeudi de chaque semaine. —  Et pour les renseignements : A Me Machenez, notaire à Paris, rue de Turbigo, numéro 3 ; —  Et à Me Prat-Marca, notaire à Etampes dépositaire du cahier des charges, des plans et titres de propriétés. —  Sans un permis desquels notaires on ne pourra visiter.
Abeille d'Etampes 91/23 (samedi  7 juin 1902), p. 4 (saisie B.G. 2012).
1905
Le 6 octobre, décès à Paris, Xe arrondissement, de Marie-Agathe Gigault de Crisenoy (1821-1905), veuve d’Amédée de Viart (1809-1868), âgée de 84 ans.

1908-1925
Charles Poisson  maire de Morigny-Champigny de 1908 à 1925.

1928
Création d’une S.A.R.L. pour l’exploitation du moulin, constituée par Charles Ferdinand Poisson et ses deux fils, tous trois minotiers.
SV&SH 69, sans référence.
1934
La S.A.R.L.  est transformée en Société Anonyme.
SV&SH 69, sans référence.
1956
M. Poisson est toujours usinier ou propriétaire.
SV&SH 69, sans référence.
1988
Enquête du Service de l’Inventaire menée par Muriel Genthon. Le moulin, alors propriété privée, bâti en 1798, est construit avec les matériaux suivants: grès, calcaire, moellon, pierre de taille, enduit et brique. Il est couvert de tuile plate et ardoise. Un escalier est dans-oeuvre, et un autre tournant à retours avec jour. Il a servi d’abord de moulin à farine puis d’entrepôt. On y distingue plusieurs époque de construction: 18e siècle, limite 18e siècle/19e siècle, 1er quart 19e siècle, milieu 19e siècle et 20e siècle. On y observe, superposés: 5 étages carrés, 1 étage carré et étage de comble. L’ensemble est constitué d’une cour, d’un logis, d’un atelier et d’une remise. C’est un moulin industriel.
Fiche 147037 Dossier versé le 13 octobre 1995. Dossier complet consultable au service régional de l’inventaire Ile-De-France (98, rue de Charonne 75011 Paris, tél. 01.56.06.51.00).  Référence Mérimée : IA00126553.
2000 env.
Le moulin aurait été encore en activité.
Cf. infra (article d’Olivia Bazenet).
2008
Cliché du moulin en ligne.
Site Topic-topos (ici).
2010
 Le 28 octobre, la journaliste Olivia Bazenet publie dans le journal Le Républicain un article sur le moulin situé rue des Ponts, qui fonctionnait encore “il y a une dizaine d’année” mais qui est depuis “en friche”. Une société immobilière s’apprête alors à y aménager une résidence: “40 logements (...) répartis en trois bâtiments, du studio au F3 ainsi qu’un parking de 78 places sur les 4000 m2 (bâtiments et terrain) en cours d’acquisition. Cinq logements seront dédiés à un bailleur social et 35 réservés à l’accession à la propriété. Les travaux devraient démarrer dans la première quinzaine de novembre”. Le promoteur Benoît Souffes annonce qu’on va  démonter la toiture et les planchers, mais reconstituer l’aspect extérieur d’origine (façades enduites de chaux, pierres apparentes et ouvertures conservées, roue restaurée). La livraison des logements, dont 25 sont déjà réservés, est alors prévue pour la fin du premier semestre 2012. Jean-Gabriel Lainey, premier adjoint de la commune de Morigny-Champingy souligne que sans cette reconversion, “le moulin serait tombé en ruine”.
Olivia Bazenet (journaliste), “Une seconde vie pour le moulin” in Le Républicain, jeudi 28 octobre 2010, avec un cliché du moulin en 2010 (page qui n'est plus en ligne en 2015).








2010 env.
Dans son CV en ligne en 2012, l’architecte Maud Brigot indique qu’elle a eu pour mission de mettre en place le chantier qui concernait une S.H.O.N de 1500m2 pour un coût de 3.000.000 € H.T.
En ligne sur le site doyoubuzz.com (ici).
2010
Le 16 mai, cliché du moulin pris par Denis Trente-Huittessan.
En ligne sur le site Flickr (ici).
2012
Différents sites marchands sur internet proposent à la location des appartements situés dans le moulin de Brunehaut.
Internet en octobre 2012.

     Chacun est appelé à contribuer à cette enquête, les petits ruisseaux faisant les grandes rivières.

Bernard Gineste, 29 octobre 2012.


Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
Contributeurs pour cette page

2012
Bernard Gineste
Quelques recherches, synthèse provisoire et mise en page.
2012
Frédéric Gatineau
Mise à disposition de plusieurs cliché.

et vous?



BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE

Édition

     COLLECTIF, «Le moulin de Brunehaut (compilation)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-moulindebrunehaut, depuis 2012.

Autres sources

     Bernard GINESTE [éd.], «Charles Forteau: Un baptême en l’église Saint-Basile d’Étampes en 1762 (1900)» [baptême de Charles de Viart, futur fondateur du moulin de Brunehaut], in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-forteau1900viart1762.html, 2012.

     COLLECTIF (Saint-Vrain et son histoire, ASME91, etc.), La Juine et ses moulins. La rivière et l’homme, sans lieu d’édition, La Juine et ses moulins, 2009, p. 69.

 
Références d’archives

     Archives nationales


     Archives départementales de l’Essonne AD91 7S 33 (plan de 1858)

     Archives départementales de l’Essonne AD91 7S 199 (plan d'une date qui reste à préciser)

     Archives muicipales d
’Étampes AME 3O C9 (plan du Juineteau)


Site de la FFAM

     FFAM (Fédération Française des Amis des Moulins), Le monde des moulins [site officiel], http://www.moulinsdefrance.org/, en ligne en 2011.

Autres moulins d’Étampes

     COLLECTIF, «Les moulins d’Étampes (compilation)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-moulinsdetampes.html, depuis 2010.

 

 
Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
   
Explicit
 
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