CORPUS HISTORIQUE ETAMPOIS
 
 Charles VIII
Sur son séjour à Étampes avec Louis de la Trémoille
Lettres des 2 et 23 mars 1488
     
Portrait de Charles VIII
Louis VIII
Portrait de Louis II de la Trémoille
Louis II de la Trémoille
 
     Nous rééditons ici deux lettres de Charles VII, l’une rédigée lors de son passage à Étampes le 2 mars 1488, l’autre envoyée le 23 du même mois du Plessis-du-Parc à son lieutenant Louis de Trémoille, dans laquelle il fait allusion à ce qu’ils se sont dit lorsqu’ils étaient ensemble à Étampes.

      La saisie des textes anciens est une tâche fastidieuse et méritoire. Merci de ne pas décourager ceux qui s’y attellent en les pillant sans les citer.
     
 
Charles VIII
Sur son séjour à Étampes avec Louis de la Trémoille
Lettres des 2 et 23 mars 1488



Introduction
 
     Sans les surcharger de commentaires nous donnons ici deux lettres de Louis VIII relatives à son passage à Étampes aux alentours du 2 mars 1488.

     Louis VIII, roi de 1483 à 1498 est passé de quatre fois à Étampes, où sa présence est attestée le 23 avril 1484 (1), le 2 mars 1488 (2), le 11 novembre de la même année (3), puis du 23 juillet au 3 août 1492 (4), tandis que le lendemain il est à la Ferté-Alais (5).

     Nous avons par ailleurs déjà réédité un édit de Charles VIII relatif à Étampes, donné à Amboise le 27 février 1491 (6).

     La première des lettres que nous rééditons ici a été écrite d’Étampes le 2 mars 1488 aux habitants de Châlons pour leur signifier la nomination d’un nouveau gouverneur de Champagne,
Jean d’Albret sire d’Orval. Le roi l’avait déjà nommé l’année précédente gouverneur de la ville même de Châlons, depuis Poitiers.

     La deuxième est adressée à la fin du même mois, le 27 mars 1488, depuis Plessis-du-Parc (domaine acheté par Louis XI en 1463 près de Tours), à Louis de la Trémoille, lieutenant général des armées du roi, au sujet de la Guerre de Bretagne, qui est alors en cours contre la duchesse Anne, que finira par épouser le roi, au terme de ces hostilités. Le roi y fait allusion en passant à une conversation antérieure, avec la Trémoille, qui se serait tenue à Étampes au début du même mois, au sujet du recrutement de soldats suisses.


     
La lettre précédente est datée de Marcoussis le 27 février (pp. 296-297) et la suivante d’Amboise le 8 mars (pp. 299-300).
     (1) Paul Pélicier (1838-1903), «Itinéraire de Charles VIII», in ID., Essai sur le gouvernement de la dame de Beaujeu, 1483-1491, Chartres, Édouard Garnier, 1882, p. 288, alléguant sans plus de précision les registres du Conseil du roi; il arrive alors de Chartres, où il est signalé le 18, et se dirige sur Vincenne, où sa présence est attestée le 30 (ibid., alléguant le Conseil du roi); cf. Eugène Thoison, Les séjours des rois de France dans le Gâtinais, 481-1789, Paris, Picard, 1888, p. 31 (cliquez ici). Cette étape était encore ignorée de Charles de Baschi, «Itinéraire de Charles VIII», in Pièces fugitives pour servir à l’histoire de France, p. 98a.
     (2) Paul Pélicier et Bernard de Mandrot (1848-1920) [éd.], Lettres de Charles VIII, roi de France, publiées d’après les originaux pour la Société de l’histoire de France. Tome premier (1483-1488), Paris, H. Laurens, 1898, pp. 297-298, cf. ibid., p. 314-315. Cf. Pélicier, «Itinéraire de Charles VIII», p. 298; il arrive de Marcousssis où il se trouve le 27 février (AN X.1a 9319 cité par Pélicier), et il part ensuite pour Amboise où il est signalé le 7 mars (Edgar Boutaric, «Rapport de M. Boutaric sur une mission en Belgique, à l’effet de rechercher les documents inédits relatifs à l’histoire de France au moyen âge», in Archives des missions scientifiques et littéraires, série 2, vol. 1 [1865], p. 231-319, spécialement p. 298.) Cette étape était encore ignorée de Baschi, «Itinéraire...», entre Paris et Plessis, p. 98a.
     (3) Lettres, Tome II (1900), pp. 257-260. Cf. Baschi, «Itinéraire...», p. 98b; Pélicier, «Itinéraire...», p. 298. Il arrive de Beaugé où il est signalé le 22 octobre 1488 (Isambert, Recueil général des anciennes lois françaises, depuis 420 jusqu’à la révolution de 1789. Tome XI, 1483-1514, Paris, Belin-Leprieur & Verdière, 1827, pp. 180-183) et se trouve le 15 novembre à Bois-Malesherbes (AN X.1a 9319 cité par Pélicier)
     (4) Lettres, Tome III (1902), pp. 291-294. La lettre précédente est datée de Marcoussis le 20 juillet 1492 (pp. 289-290). Étape encore ignorée de Baschi, «Itinéraire...», p. 98b; Pélicier quant à lui arrête son itinéraire en 1491.
     (5Lettres, Tome III (1902), pp. 294-295. La lettre suivante est datée de Paris le 7 août 1492 (p.297)
     (6) Paul Dupieux, «Lettres royaux inédites concernant Étampes (1456-1573)», in Bulletin philologique et historique (jusqu’à 1715) du Comité des travaux historiques et scientifiques. Années 1930 et 1931, Paris, Imprimerie nationale, 1932, pp. 246-249, pièce n°II (cliquez ici).
 

1. Lettre d'Étampes du 2 mars 1488 aux habitants de Châlons

CLXXXVI (1)
AUX HABITANTS DE CHALONS
Étampes, 2 mars 1488.

     Nomination du sire d’Orval au poste de gouverneur de Champagne. — (Orig. Arch. mun. de Châlons, AA 4. Publ. dans le Bull. du comité de la langue et de l’histoire de France, t. III, p. 599.)
     (1) N° d’ordre dans le recueil des lettres de Charles VIII connues à l’époque de Pélicier (B.G. 2011).

     A noz chers et bien amez les gens d’eglise, nobles, bourgeois, manans et habitans de nostre ville de Chaalons (2).

De par le roy.

     Chiers et bien amez, pour ce que, en l’année passée, nostre cousin le seigneur d’Orval s’est très grandement conduit en la lieutenance qu’il avoit et a de nous en noz pays de Champaigne, et nous y a fait plusieurs bons et grans services (3) pour recompense desquelz, [p.298] aussi que nostre cousin le feu seigneur d’Orval, son pere (4), et autres ses predecesseurs, ont tousjours esté bons et loyaulx envers nous et la couronne de France, nous luy avons donné l’office de gouverneur de nosdictz pays de Champaigne pour en joïr à telz honneurs, auctoritez, preheminances et droiz que faisoient ses predecesseurs oudict office. Si voulons et vous mandons très expressement que en tout ce qui concernera le fait de sondict office, aussi le bien et seureté de nostredict pays et des villes et places d’icelluy, vous luy obeissez et faictes tout ce qu’il vous ordonnera comme feriez pour nostre propre personne. Et en ce et autres noz affaires de par delà nous servez et aussi vous emploiez tousjours à la garde de nostre ville de Chaalons, ainsi que par devant avez fait et que en vous nous avons nostre fiance. Et qu’il n’y ait point de faulte, et vous nous ferez plaisir bien agreable. Donné à Estampes, le IIe jour de mars.

CHARLES
PARENT.

     Receues au conseil dudict Chaalons, tenu au Sainct Esperit le unziesme jour du mois de mars mil IIIIc IIII.XX et sept (v. st.). (5)


ANNEXE
Précédente lettre de nomination de d’Orval

XCII.
AUX HABITANS DE CHALONS.
Poitiers, 20 février 1487.

     Le seigneur d’Orval va se rendre en Champagne avec les gens d’armes des ordonnances; ordre de lui obéir en tout ce qu’il commandera. — (Orig. Arch. Mun. De Châlons, Lettres missives des rois, AA 4. Publ. dans le Bull. du comité de la langue et de l’hist. de France, t. III, p. 596.)

     A noz chiers et bien amez les gens d’eglise, nobles, bourgois, manans et habitans de nostre ville de Chalons (6).

De par le roy.

     Chers et bien amez, pour donner ordre et provision aux choses qui pourroient survenir en nos païs et conté de Champaigne et es environs, aussi resister aux entreprinses que aucuns seigneurs de nostre sang et et aultres s’efforcent faire, voulans mectre en nostre royaume plusieurs troubles et divisions et la pillerie sur nostre peuple, à nostre très grant desplaisance et contre nostre auctorité: pour ces causes et pour la [p.156] bonne amour et entiere confience que avons de la personne de nostre cher et feal cousin le seigneur d’Orval (7), nous lui avons ordonné de se tirer et transporter en nosdicts pais de Champaigne, et avecques lui les gens d’armes de noz ordonnances dont il a la charge, et nostre ban, arriere ban et autres gens de guerre que besoing sera, les faire loger es villes et places d’iceulx païs où il verra estre affaire pour le mieulx. Si vous prions et mandons bien expressement que, en ensuyvant la bonne amour et grande loyaulté que tousjours par effect avez desmontrée avoir envers nous et feu nostre très cher seigneur et pere, que Dieu absoille, vous faites de nostre ville de Chaalons si bonne et seure garde que inconvenient n’en adviengne, en vous retirant par devers nostre dict cousin tant pour nosdictes affaires que ceulx de nostredicte ville. Et faites ce qu’il vous ordonnera et lui obeissez comme feriez à nostre propre personne, en laissant entrer en nostredicte ville tel nombre desdicts gens de guerre qu’il advisera pour le seureté et deffence d’icelle sans y faire difficulté. Donné à Poictiers, le XXe jour de fevrier (8).

CHARLES.
PARENT. [p.157]

     Receues ces presentes [par] Huguet du Foissy leXII de mars mil IIIIc IIII.XX et six.
     (2) Suivant l’usage du temps, cette adresse est portée en fin de texte dans l’original, mais nous la mettons au commencement pour nous conformer à l’usage actuel (B.G. 2011).

     (3) Jean d’Albret, sire d’Orval, de Lesparre et de Grammont, gouverneur de Champagne, mort le 10 mai 1524. (De Maulde, Procéd. Polit., Index, v° Albret.) — Par lettres patentes datées de Poitiers le 17 février 1486 (v. st.), le roi avait donné commission au sire d’Orval de se transporter en Champagne avec les gens d’armes de ses ordonnances et d’y prendre toutes les meusures requises pour la sûreté du pays. (Arch. mun. de Châlons, AA 3: vidimus sur parchemin du 15 novembre 1487.) Voy. Ci-dessus la lettre du 20 février 1487, n°XCII (Note de Pélicier 1898). Je donne cette lettre ensuite (B.G. 2011)

     (4) Arnaud Amanieu, mort en 1463. Il avait épousé (25 nov. 1456. Bibl. Nat., ms. Doat, vol. 219, fol. 259) Isabeau de la Tour (Note de Pélicier 1898).

     (5) Rappelons qu’en vieux style on ne change pas d’année le premier janvier mais à Pâque. Nous sommes donc encore alors, en vieux style, en 1487.

Portrait de Charles VIII
Portrait de Charles VIII

     (6) Suivant l’usage du temps, cette adresse est portée en fin de texte dans l’originla, mais nous la mettons au commencement pour nous conformer à l’usage actuel (B.G. 2011).

     (7) Jean d’Albret, sire d’Orval, cousin germain d’Alain le Grand et fils d’Arnaud-Amanien d’Albret. (Note de Pélicier 1898).

     (8) « L’en a remercyé le roy nostre sire et ledict seigneur d’Orval desdictes lettres, et a esté conclud que l’on obeyra au bon plaisir et vouloir du roy, et aussy que l’on donra audit porteur pour son vin demy escu d’or, et oultre que l’en escripra de par la ville à mons.r le prevost Corguilleray à Sainct Disier, en lui priant aider ladite ville envers mondit seigneur d’orval touchant la descharges dudit logis, s’il est possible. » (Arch. mun. de Châlons, BB 6, fol. 72 v°.) (Note de Pélicier 1898).
     

2. Lettre du Plessis du 27 mars 1488 à Louis de la Trémoille

CXCVII (1).
A LOUIS DE LA TRÉMOILLE ET A SES LIEUTENANTS.
Plessis-du-Parc, 23 mars 1488.

     Le sire de Rohan, qui tient dans Josselin, n’a pas encore été secouru; s’il succombe, la honte en sera grande. Ne pas prendre plus de 100 ou 120 Suisses, qui seront payez à raison de 100 sols par mois. Bonnes nouvelles de Liège, qui a été prise d’assaut par les gens du roi. — (Orig. Chartrier de Thouars. Publ. dans corresp. de Charles VIII, n°13.)

     (1) N° d’ordre dans le recueil des lettres de Charles VIII connues à l’époque de Pélicier (B.G. 2011).
     A nostre cher et feal cousin le sire de la Trymoille, nostre lieutenant, les seigneurs de Charluz, de Sainct André, le seneschal d’Agenaiz et les capitaines Glaude de la Chastre et Jaques de Silly (2).

De par le roy.

     Cher et feal cousin et vous noz amez et feaulx, nous avons receu à ce matin lectres de vous, environ sept heures, escriptes à Pouencé vendredi, à six heures du soir, qui contiennent la venue des gens du seigneur
[p.314] de Coulombiés, et aussi les nouvelles qui vous ont esté dictes, tant de vannes que de Chasteaubryant. Mais, par vostredictes lectre, vous ne parlez point de ce que vous avez esperance de faire pour monstrer à noz gens de basse Bretaigne que nous les voulons secourir, car aux nouvelles qui nous surviennent de toutes pars nous ne faisons nulle doubte que bien tost noz gens, qui sont à la Cheize ou à Jossellin, n’ayent beaucoup à faire. Et les premieres nouvelles que vous estes bien taillez d’en avoir, ce sera qu’il leur en sera prins comme à ceulx de Vannes, ou piz par aventure; car la longueur de leur monstrer signe que l’on veult les secourir sera cause de perdre noz gens et de faire prandre appoinctement à nostre cousin de Rohan. Et n’y a homme au monde, de si grant cueur soit il, que à lui monstrer si mesgrement que nous lui vueillons donner secours comme il a esté fait jusques icy, qui n’eust bonne raison d’essayer par toutes façons qu’il pourroit à sauver son corps et ses biens.
     (2) Suivant l’usage du temps, cette adresse est portée en fin de texte dans l’original, mais nous la mettons au commencement pour nous conformer à l’usage actuel (B.G. 2011).
     Vous avez congueu jusque icy le parlement qu’il tient au duc, qui n’est si non esperant avoir nouvelles de nous. Pour conclusion, nous ne vous escripvons plus de ceste matiere. Faictes en ainsi que vous adviserez, mais nous doubtons encores une foiz d’en recevoir une très grant honte dont vous aurez vostre part, et le dommaige ne nous sera pas petit. Au regard du seigneur de Rouvrou, que vous avez retenu avecques vous pour ce qu’il a plus grant nombre de gens que ceulx que on pourroit tirer de Victré, vous avez bien advisé (3), mais que le seigneur de Sainct [p.315] Pierre qui le demandoit s’en contente, et que la place ne demeure point despourveue ni en dangier, car vous entendez bien que ung homme qui veult garder une place aymeroit mieulx ung homme qui fust son parent ou son amy avecques cent hommes qu’il ne feroit ung autre avecques deux cens.
     (3) Voy. Ci-dessus la lettre datée du Plessis, 20 mars 1488, n°CXCII.
     Touchant les Suysses, vous, mon cousin, savez ce que vous en dismes à estampes, où le marché fust faict avecques le cappitaine d’en amener jusques à cent seulement, et, pour ce, arrestez vous à ces cent ou jusques à VI.XX, et qu’ilz soient tous du païs des beaulx hommes. Mais ne passez pont oultre, car, pour abreger, nous ne sommes pas deliberez d’en faire paier plus largement, et le dictes au cappitaine seichement, affin qu’il ne s’y attende, car, soubz umbre de ses Suysses icy qui parlent françois, ilz assembleront lacquaiz et toutes autres gens qui ne sont point de la nacion Suysse, ce que nous ne voulons pas: et ne nous escripvez plus de ceste matiere, car il ne s’en fera autre chose. Nous escrpvons au tresorier qu’il paie ledict nombre à cent solz par moys, ainsi qu’il leur a esté promis.

     A ceste heure nous sont venues nouvelles que noz gens ont prins la cité de Liege de bel assault, et y sont mors et prins ceulx que vous verrez dedans le double de la lectre, lequel nous vous envoyons cy dedans. Si vous l’envoiez dire à vos voisins, il nous semble qu’ilz ne donneront guieres d’argent au messagier qui leur en portera les nouvelles. Donné au Pleissis du Parc, le XXIIIe jour de mars, à une heure après mydy.

CHARLES.
PARENT.
[p.316]

     
 
Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE

Éditions

1ère lettre, du 2 mars 1488
     1) Original conservé aux
Archives municipales de Châlons sous la côte AA 4.
   
 2) Publication princeps: Bulletin du comité de la langue et de l’histoire de France, t. III, p. 599.
     3) Paul PÉLICIER (1838-1903) et Bernard de MANDROT (1848-1920) [éd.], Lettres de Charles VIII, roi de France, publiées d’après les originaux pour la Société de l’histoire de France [5 volumes in-8° (1898-1905); index à la fin du tome V], Tome premier (1483-1488), Paris, H. Laurens, 1898, pp. 297-298.
     4) Bernard GINESTE [éd.],
«Charles VIII: Sur son séjour à Étampes le 2 mars 1488 (lettres des 2 et 27 mars)», in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/che-15-1488charles8mars.html#2mars, 2012.

2ème lettre, du 27 mars 1488
     1) Original conservé dans le chartrier de Thouars (selon Pélicier).

   
 2) Publication princeps: Louis de la TRÉMOILLE [éd.], Correspondance de Charles VIII et de ses conseillers avec Louis de la Trémoille, pendant la guerre de Bretagne (1488), publiée d'après les originaux [in-8°; XII+284 p.; avec des fac-similé], 1875, pp. 12-13.

     3) Paul PÉLICIER (1838-1903) et Bernard de MANDROT (1848-1920) [éd.], Lettres de Charles VIII, roi de France, publiées d’après les originaux pour la Société de l’histoire de France [5 volumes in-8° (1898-1905); index à la fin du tome V], Tome premier (1483-1488), Paris, H. Laurens, 1898, pp. 313-316.
     4) Bernard GINESTE [éd.],
«Charles VIII: Sur son séjour à Étampes le 2 mars 1488 (lettres des 2 et 27 mars)», in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/che-15-1488charles8mars.html#27mars, 2012.

Lettres de Charles VIII concernant Étampes

     1) Lettre aux habitants de Châlons (Étampes, 2 mars 1488), in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/che-15-1488charles8mars.html#2mars, 2012.
     2) Lettre à Louis de la Trémoille (Plessis-du-Parc, 27 mars 1488),
in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/che-15-1488charles8mars.html#27mars, 2012.
     3) Lettre au Parlement de Paris (Étampes, 11 novembre 1488), prochainement en ligne.
     4) Lettres à ses conseillers généraux (Amboise, 27 février 1491),
in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/che-15-1491charles8sel.html, 2010.
     5) Lettre au Parlement de Paris (Étampes, 24 juillet 1492), prochainement en ligne.
     6) Lettre aux habitants de Reims (La Ferté-Alais, 3 août 1492), prochainement en ligne.
     7) Lettre aux habitants d'Amiens (La Ferté-Alais, 4 août 1492), prochainement en ligne.

Étampes au XVe siècle

     Corpus Médiéval Étampois: XVe siècle (liste des documents et études mis en ligne sur le moyen âge étampois sur le site du Corpus Étampois)



Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
Source: L’édition de Paul Pélicier saisie par Bernard Gineste en septembre 2011.
 
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