CORPUS ARTISTIQUE ÉTAMPOIS
 
Gustave Fautras
De la Loire à l’Oder: à travers l’Étampois
Chapitre 5 et 6, 1899
     
Casque d'uhlan du 115e hessois      Ces Récits de captivité d’un prisonnier civil en 1870-1871 rédigés par un inspecteur de l’enseignement primaire, furent cinq fois réédités de 1899 à 1914 par Hachette dans sa collection «Bibliothèque des écoles et des familles». Cet ouvrage couronné par l’Académie des sciences morales et politiques est l’un de ces livres qui ont inculqué au peuple de France la haine d’un ennemi désormais héréditaire, le Boche. Il raconte d’une manière extrêmement détaillée les exactions subirent un groupe de prisonniers civils arrachés arbitrairement à leur petit village de Bricy, à 16 km au nord-ouest d’Orléans, et déportés en Prusse contre toutes les lois de la guerre.
     Anne-Marie Servatius a saisi pour le Corpus les deux chapitres de ce récit qui racontent leur passage à travers le pays étampois. Qu’elle en soit ici remerciée.

 
De la Loire à l'Oder, édition de 1914
BIBLIOTHÈQUE DES ÉCOLES ET DES FAMILLES
 
DE LA LOIRE A L’ODER
RÉCITS DE CAPTIVITÉ D’UN PRISONNIER CIVIL
EN 1870-1871


PAR
GUSTAVE FAUTRAS
INSPECTEUR DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
OFFICIER DE L’INSTRUCTION PUBLIQUE


OUVRAGE ILLUSTRÉ DE 40 GRAVURES

Ouvrage couronné par l’Académie des sciences morales et politiques


SIXIÈME EDITION

PARIS
LIBRAIRIE HACHETTE ET Cie
79, BOULEVARD SAINT-GERMAIN, 79
1914



V. DE   TOURY   A   ÉTAMPES
[pp. 35-38]

      Au milieu de la confusion de leurs idées, les prisonniers de Bricy se figuraient pourtant qu’on les délivrerait au matin. Mais les premiers rayons de l’aube naissante ne tardèrent pas à faire s’évanouir ce vacillant espoir.

     Le curé de l’endroit vint les visiter avant le départ et voulut bien, sur leur prière, intercéder pour eux auprès du commandant de place; la démarche, hasardeuse, fut sans succès: le chef prussien se refusait à les recevoir et à les entendre.
 
     Il n’y avait donc plus à s’y méprendre: on les considérait comme des prisonniers de guerre, et on les emmenait en captivité pour leur faire expier un crime imaginaire.

     La course recommença, et cette nouvelle étape ne devait être malheureusement que la répétition de la première.

     On défila d’abord entre une double haie de Prussiens échelonnés du portail de l’église à la route. Chaque prisonnier reçut pour la journée une légère ration de pain, et l’on quitta Toury dans l’ordre de marche adopté, sous les cris assourdissants des conducteurs et sous leur farouche surveillance.

     Les brutalités de la veille se renouvelèrent dès les premiers pas. A Toury même, un vieillard de soixante-huit ans, Penot Louis, qui cherchait à se réfugier dans une maison, [p.36] fut frappé, ensanglanté, à moitié assommé, et ne put qu’à grand’peine rejoindre la colonne.

     A Angerville se produisit un incident des plus émouvants. Parmi les prisonniers se trouvait un jeune homme de cette ville, enlevé sans motif plausible, sur le seuil de sa porte, le dimanche précédent, 9 octobre. Sa femme l’ayant aperçu dans le cortège au moment du passage, s’élança vers lui avec un bébé dans les bras, franchit le double rang des Prussiens de l’escorte, et vint se jeter à son cou en s’écriant: «Embrasse ton enfant…. Ils ne t’emmèneront pas, les barbares! Je te défendrai contre eux tous…. Tu resteras avec moi, ou je te suivrai…» Pendant une courte minute, on les vit mêler leurs pleurs et couvrir de baisers le blond chérubin.

     Mais il était dit qu’un tableau aussi touchant ne pourrait attendrir les soldats d’outre-Rhin: avec une violence qu’un français ne connaît pas, ils séparèrent cette jeune épouse de son infortuné mari et la poussèrent hors des rangs. Elle suivit la colonne, courant affolée, s’arrachant les cheveux, bravant même les coups de sabre d’un cavalier impatienté de la scène. «Reste, criait le prisonnier avec angoisse, reste, je t’en supplie….Je reviendrai bientôt…». Il lui tint parole: le soir, à Étampes, il put tromper la surveillance des gardiens et s’échapper de leurs mains.

     Ce fut à Angerville aussi que les prisonniers commencèrent à recueillir les élans de sympathie de tous les cœurs français. Epuisés par des réquisitions incessantes, ruinés par l’occupation prussienne, les habitants des villes, comme ceux des moindres hameaux, trouvaient encore le moyen de secourir leurs frères malheureux, de les encourager, d’atténuer leurs souffrances en leur jetant d’une fenêtre ou par une porte entr’ouverte un morceau de pain ou un fruit qui était accepté avec reconnaissance. Partout à travers la France, en Champagne comme en Alsace, se manifesta la même charité patriotique.

     Les soldats français n’avaient guère à se louer des procédés de l’ennemi; ils étaient cependant moins exposés aux violences prussiennes que les prisonniers civils. Les gardiens [p.37] n’avaient point à user de ménagements envers des paysans qu’ils considéraient comme des francs-tireurs et des bandits; leur mot d’ordre était de les traiter avec le plus de dureté possible, et ils observaient strictement la consigne.

     La faim, la soif, la fatigue et les coups avaient rendu méconnaissables d’ailleurs la plupart des gens de Bricy, et lorsqu’un clairon, de ses sons criards et stridents, annonçait une halte, ils s’affaissaient à terre, muets et désespérés, n’ayant plus même la force de se plaindre.

     De distance en distance, on avait rencontré au cours de cette étape des détachements de Bavarois conduisant vers Orléans des chariots d’approvisionnements. On devait voir plus tard, par les immenses convois qui obstruaient les chemins et se croisaient en tous sens sur les routes des départements de l’Est, que le service de l’intendance allemande ne chômait pas et que l’ennemi ne se privait guère de rançonner les populations.

     A quelques kilomètres d’Étampes paissait, près de la route, un nombreux troupeau de vaches réquisitionnées dans le pays et gardées par des soldats hessois qui fumaient leurs longues pipes d’un air mélancolique, songeant peut-être aux pâturages verdoyants de la vallée du Rhin. [p.38]

       Les prisonniers entrèrent à Étampes sur quatre rangs; leur mine pitoyable y provoqua des sentiments divers: les femmes pleuraient, les hommes s’indignaient, l’ennemi comme toujours menaçait et injuriait. Sur la porte de chaque maison était griffonnée à la craie une inscription allemande indiquant le logements des soldats et des chefs, et sur chaque seuil se tenaient des Prussiens de haute stature, cachant mal sous leur barbe blonde un visage farouche et un regard endurci.

     On fit pénétrer les prisonniers, à l’extrémité nord de la ville, dans le jardin entouré de murs d’un établissement industriel, où leur fut faite une distribution de pain.

     La crainte d’être fusillés, entretenue dans leur esprit par des gardiens bavarois qui ne leur épargnaient ni cyniques railleries ni gestes comminatoires, obsédait encore à ce moment quelques vieillards. L’un d’eux même, Eugène Gigou, — dont nous raconterons plus tard la triste fin, — semblait avoir perdu la raison; à tout instant, il quittait le rang pour débiter des propos incohérents, et chaque fois y était ramené avec la crosse ou la baïonnette.

     L’obscurité enveloppait déjà l’intérieur de l’établissement où les prisonniers allaient être enfermés. Cette seconde étape de quarante kilomètres parcourus aussi misérablement avait mis le comble à leurs fatigues, et lorsque, au quatrième étage, ils purent s’étendre sur la paille dont était recouvert le plancher, la plupart s’endormirent d’un sommeil accablant, hanté de lugubres cauchemars. Plusieurs cependant veillaient et songeaient à fuir: prenant les allures de commerçants de la ville, de visiteurs charitables, ils passèrent sans être inquiétés devant les sentinelles prussiennes et recouvrèrent ainsi la liberté.





Tour de Guinette d'après une photographie de M. E. Schiffer















La sentinelle prussienne contempla le défilé, droite, raide, immobile comme une statue
VI. D’ÉTAMPES  A  CORBEIL
[pp. 41-44]


       Les prisonniers civils se revirent le lendemain un peu moins accablés physiquement, mais tout aussi désolés. Harcelés par les conducteurs, poussés par les baïonnettes, marchant et courant sans répit, chaque jour en effet les éloignait du village de Bricy, et longtemps encore ils devaient ignorer la fin de cette triste odyssée.
 
     Dès le matin, deux médecins les vinrent visiter et délivrèrent des entrées d’hôpital aux plus âgés et aux plus maltraités: Hoyau François (soixante-dix ans), Cachin Louis (soixante-dix sept ans) et Labbé, dont j’ai déjà parlé.
 
     Des fenêtres de l’établissement occupé, on apercevait la ville entière d’Étampes, au pied du plateau qui la domine. La voie de chemin de fer était déserte, aucun train ne la sillonnait, aucune locomotive n’y faisait entendre son souffle bruyant; les rues, où vaguaient des troupiers allemands, ne présentaient ni l’animation du réveil ni le mouvement des affaires matinales; un morne silence planait sur toutes les maisons grises de la petite cité; des corbeaux seuls croassaient au sommet de la vieille tour  Guinette.
 
     Les prisonniers ne reçurent aucun aliment ce matin-là, et ils auraient jeûné si la charité des habitants ne leur fût venue en aide.
 
    A la sortie d’Étampes, un jeune officier bavarois, au visage imberbe, à la physionomie intelligente, fut surpris de voir [p.42] des paysans à la suite des soldats prisonniers et s’informa du motif de leur arrestation. Il parut indigné d’apprendre qu’aucune cause avouable ne l’expliquait. Mais que pouvait-il contre l’ordre venu de haut, du général von Wittich lui-même, de chasser comme un troupeau ces pauvres gens vers les frontières de Prusse?
 
     L’étape fut marquée de nouveau par de pénibles incidents et vit se renouveler les scènes de brutalité des jours précédents.
 
     On avait, en quittant Étampes, laissé la route de Paris pour suivre celle de Corbeil. Les prisonniers civils ne le regrettèrent pas, car jusqu’ici la crainte d’être occupés aux travaux du siège avait persisté en leur esprit. Ils se rappelaient, en effet, que les Prussiens avaient usé déjà de ce procédé devant Strasbourg, et il n’en coûtait certes guère à un ennemi aussi peu scrupuleux de rééditer sous les forts de la capitale cette violation des lois de la guerre.
 
     A mesure que l’on avançait, l’occupation du pays par les troupes allemandes s’accentuait de plus en plus: la voie creusée, défoncée en maints endroits, accusait qu’une lourde artillerie, de pesants caissons l’avaient sillonnée fréquemment; des fers de chevaux, épars ça et là, indiquaient qu’un cavalerie nombreuse l’avait aussi parcourue. De loin en loin, sur la lisière d’un bois ou au milieu d’une plaine, apparaissaient les restes d’un camp abandonné; dans le fossé du chemin, le cadavre d’un cheval à moitié dévoré ou les roues brisées d’un chariot.

     A quelque distance d’Étampes, le cortège se croisa avec un détachement bavarois. On a souvent répété que les soldats allemands, d’un tempérament apathique et rêveur, témoignaient dans cette guerre, où ils étaient forcément engagés, d’un sentiment d’humanité, qui faisait complètement défaut aux Prussiens du Brandebourg. Le fait fut plus d’une fois constaté. Mais la Bavière, en France, avait à cœur d’imiter son alliée et de marcher sur ses traces: les soldats de Munich, à part quelques exceptions, ne le cédaient en rien, pour la rapacité et la cruauté, aux soldats de Berlin. [p.43]

     A Boissy-le-Cutté, charmant village entouré de collines, où l’on descend par une route percée dans la forêt et bordée de roches granitiques, les habitants, accourus vers les prisonniers avec du pain et de l’eau, se virent chassés par les Prussiens qui s’emparèrent des aliments, répandirent le liquide et brisèrent les vases.

     La faim et la soif cependant se faisaient vivement sentir. On s’était hasardé à arracher des navets dans un champ qui longeait la route, mais toujours devant soi s’étaient dressées les impitoyables baïonnettes ennemies.

     A la Ferté-Alais, deux ou trois prisonniers civils purent se dérober au joug de leurs tyrans, grâce au concours de personnes vraiment françaises qui, pour faciliter leur évasion, ne craignirent point de s’exposer à la fureur du vainqueur.

     Non loin de là, près d’une fontaine où l’on avait fait halte, les habitants d’un village voisin s’étaient approchés, eux aussi, désireux d’offrir aux prisonniers quelques provisions. Mais, comme ceux de Boissy-le-Cutté, ils n’eurent pas cette consolation et furent obligés de fuir, à travers champs, sous les coups de sabre des cavaliers prussiens. Une jeune fille seule brava les menaces tudesques et ne s’éloigna qu’après avoir donné aux français tout le pain qui emplissait son tablier.

     En cet endroit, un lièvre imprudent, dérangé du gîte et troublé dans le songe par un chien qui le suivait de près, vint donner tête baissée dans un groupe de soldats français qui facilement le saisirent. Déjà nos troupiers se demandaient quel parti ils allaient en tirer, lorsque les Prussiens, intervenant, s’emparèrent avec autorité du délicat gibier. C’était le droit du plus fort, mais était-ce le meilleur? Dans les moindres faits de cette guerre  se retrouve, ponctuellement suivi, le précepte de M. de Bismarck: « La force prime le droit».

     Plus loin, à Fontenay-le-Vicomte, les femmes plus que les hommes encore manifestèrent leur indignation de voir emmener en captivité des vieillards en blouse,courbés et affaissés, le visage tuméfié, les pieds ensanglantés. [p.44]

     Il était cinq heures lorsqu’on aperçut les premières maisons de Corbeil. Les pavés de la route, enlevés de place en place, avaient été entassés en prévision de la défense; l’idée de la résistance avait dû être abandonnée, mais au moins ne s’était-on pas borné ici à de simples déclamations.
 
     A l’entrée de la rue principale, juchée sur un tas de pierres, une sentinelle prussienne lança son «Wer da!» réglementaire quand apparut la tête du cortège; puis, d’un mouvement automatique ayant replacé l’arme sur l’épaule, elle contempla le défilé, droite, raide, immobile comme une statue.
 
     La faiblesse chez quelques prisonniers était si grande alors qu’un meunier de Bricy, Martin, père de huit enfants, tomba sans connaissance et se fendit la tête sur le pavé de la rue; transporté à l’hospice, il put revenir au village après la guérison de sa blessure.
 
     Des rations de pain furent enfin distribuées à la porte de l’église Saint-Spire, qui allait servir de refuge. Mais, comme à Toury, les places étaient occupées déjà  par les soldats quand les civils entrèrent, et ce ne fut qu’à grand’peine que ceux-ci purent s’asseoir sur les marches de l’autel.
 
     La nuit fut longue et le sommeil ne vint guère. La position, du reste, n’était pas tenable; à chaque instant il fallait se lever, s’étirer ou faire quelques pas pour reposer ses membres de la dureté du carreau. Quand le jour, impatiemment désiré, pénétra sous la voûte, les soldats plièrent leurs couvertures, secouèrent leurs capotes, et tous les prisonniers, délogés de l’église, défilèrent encore une fois entre deux rangs de soldats bavarois au regard moqueur et à l’air insultant.

La sentinelle prussienne contempla le défilé, droite, raide, immobile comme une statue










Tour de Guinette d'après une photographie de M. E. Schiffer


BIBLIOGRAPHIE
 
Éditions


     Gustave FAUTRAS, Guerre de 1870-1871. Cinq mois de captivité. Récits d’un prisonnier civil en Prusse [in-18 ou in-16; in-16, XIII+192 p.], Orléans, Séjourné, 1873.

     Gustave FAUTRAS, De la Loire à l’Oder. Récits de captivité d’un prisonnier civil en 1870-1871 [édition remaniée de l’ouvrage précédent; in-8°; VIII+191 p.; figures] Paris, Hachette & Cie [«Bibliothèque des écoles et des familles»], 1899. 2e édition, 1900. 3e édition, 1904. 4e édition, 1907. 5e édition, ?. 6e édition: De la Loire à l’Oder. Récits de captivité d’un prisonnier civil en 1870-1871, par Gustave Fautras, inspecteur de l’enseignement primaire, officier de ll’instruction publique. Ouvrage illustré de 40 gravures. Couronné par l’Académie des Sciences Morales et Politiques. 6e édition  1914 .
 
     Anne-Marie SERVATIUS et Bernard GINESTE [éd.], «Gustave Fautras: De la Loire à lOder, chapitres 5 et 6 (1899)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-19-fautras-delaloirealoder.html, 2003.

Autres ouvrages de Fautras

     Henri PROVOST & Gustave FAUTRAS, Aux enfants de la France, chants de l’école et de la famille, à une et à deux voix [grand in-8°; 240 p.; planches; musique], Paris, Ch. Delagrave, 1899.

     Gustave FAUTRAS, Autour d’un champ de bataille (Coulmiers) [in-8°; 191 p.; figures], Paris, Hachette [«Bibliothèque des écoles et des familles»],
1901. 4e édition en 1914.

     Gustave FAUTRAS, A travers l’année tragique [in-8°; 190 p.; figures], Paris, Hachette [«Bibliothèque des écoles et des familles»], 1903. 2e édition en
1906. 3e édition en 1911 [l’exemplaire de la BNF a un envoi autographe de l’auteur à Maurice Barrès].

     Gustave FAUTRAS, Souvenirs et impressions de 1870-1871: le 3e Bataillon de la garde mobile de Seine-et-Oise pendant le siège de Paris [in-8°; 154 p.;  figures; carte], Paris, Hachette,
1906.

     Gustave FAUTRAS, Gretha, épisode de la guerre de 1870. Avec lettre-préface de M. Frédéric Masson (1847-1923) [in-16 (19 cm); XV+312 p.], Paris, Hachette.
1915. Réédition 1916 [l’exemplaire de la BNF a un envoi autographe de l’auteur à Maurice Barrès].

     Gustave FAUTRAS, La Dictée au certificat d’études [in-8°; 128 p.], Paris, A. Hatier,
1932.

     Gustave FAUTRAS, Pontoise et ses environs [in-16; 96 p.; figures], Pontoise, L’Écho pontoisien,
1931.

     Gustave FAUTRAS, 120 dictées données au certificat d’études [in-16 (19,5 cm sur 12,5], Paris, A. Hatier,
1951 .

Autres sources

     Le Corpus Étampois mettra ultérieurement en ligne d’autres sources locales sur les événements de la guerre de 1870 dans le pays étampois.

 

Source: Saisie de l’édition de 1914 par Anne-Marie Servatius, novembre 2003.
 
Explicit
   
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