CORPUS ARTISTIQUE ÉTAMPOIS
 
Philippe Lejeune 
Quarante et une œuvres de 1938 à 1992
publiées par les Amis de l’Atelier de la Vigne en 1992
    
    Avec l’autorisation de l’artiste, qui nous a lui-même aimablement fourni à cette fin un exemplaire du catalogue de 1992, nous donnons ici les scans des quarante et une œuvres de Philippe Lejeune du catalogue alors édité par les Amis de l’Atelier de la VigneEn cliquant sur chaque image, on accède à une vue agrandie, sur laquelle on peut cliquer pour parcourir la galerie virtuelle des œuvres de Philippe Lejeune en ligne sur le Corpus Étampois.
B.G., novembre 2007.


Philippe Lejeune dessiné par André Jude
Portrait de Philippe Lejeune par André Jude



[PRÉFACE DE NATHALIE GOBIN]

    Philippe Lejeune, né en 1924, élève de Maurice Denis et de Cennino Cennini, n’a fait aucune impasse, au détriment de son confort intellectuel.

     «De mon temps, Monsieur, on n’arrivait pas» (Degas)

     Ceci est un carnet de voyage, la trace d’une vie que l’on suit à la piste comme un itinéraire dont le dessin sur la carte refuse, sauf une, toutes les voies offertes à chaque croisement.

     Les nuages, ce milieu qui fait se rejoindre le ciel et la terre nous paraît être l’image même d’une barrière initiatique — Ce serait en somme la frontière qu’il faut dépasser pour accéder à la pureté d’un ciel limpide et infini, le symbole d’une mort qui voile et d’une naissance qui révèle, nuée sur laquelle se projettent des ombres comme sur le mur de la caverne de Platon.

Nathalie Gobin

Dessin de Valérie Le Signor  
L’atelier de la Vigne dessiné par Valérie Le Signor



[PRÉFACE DE JÉRÔME LEJEUNE]


Jérôme Lejeune      «Vous autres scientifiques, sous désarticulez le monde, vous le réduisez en morceaux. Tel l’enfant qui démonte un réveil-matin, vous rejetez les pièces en trop. Et si votre univers remonté tant mal que bien égrène encore des prédictions, parfois réalisées, alors vous affirmez la justesse de vos modèles amputés.

     Le philosophe considère tout autrement les choses, il ne cherche qu’à les montrer.
     —  Voyez cette puissante montagne et cette bâtisse près du sommet et sur la crête au-dessus, à la limite des névés, ce terrain parsemé de points minuscules. Tiens, l’un d’eux vient de bouger.
     — Ce sont des chamois, d’une agilité extrême et d’approche fort difficile, Il faut les admirer de loin pour les discerner tout à fait.
     Puis après un silence:
     — Un homme dit à l’autre: regarde, vois-tu ce que je vois?... et pendant un instant tous deux contemplent la beauté.
     — C’est cela la philosophie».


     Cet enseignement de Baldwin Schwartz me revenait en mémoire devant un tableau de Philippe.
     Son art est-il philosophique?
     Mène-t-il au discernement?
     Ce serait oublier que le cerveau qui regarde utilise tour à tour les réseaux différents pour enregistrer les couleurs ou pour analyser les formes et ce troisième encore pour appréhender le temps.
     La peinture peut certes sublimer formes et couleurs et les isoler pour toujours du flux du réel qui passe.
     Mais peut-on véritablement négliger la durée?
     Voyez ces tons amoncelés, ces nuances qui tantôt s’opposent ou se répondent, pure harmonie colorée. Progressivement en émergent formes, figures, paysage, sujet. Le titre vous sera donné par après; le temps ainsi fera son œuvre.

     La démarche du philosophe et le cheminement de l’artiste se répondent en ceci:
     — la sagesse conduit de l’admiration au discernement,
     — l’art commence à l’enchantement et mène à la révélation.
     — Voyez.

Jérôme LEJEUNE
de l’Institut
de l’Académie pontificale des sciences


Dessin de Valérie Le Signor
L’atelier de la Vigne dessiné par Valérie Le Signor




[PRÉFACE DE PHILIPPE ÉLOY]

     J’ai toujours eu une grande admiration pour l’œuvre de Philippe Lejeune.

     Lorsque j’ai eu la chance d’y être initié par un de mes amis, ce fut un choc, une révélation. Après avoir, pendant des années, assidûment visité des expositions. des ateliers, la Cité Internationale des Arts, je me suis attaché à son oeuvre et ai eu la chance de collectionner. petit à petit. avec amour et enthousiasme, certaines huiles ou aquarelles, quelques portraits.
Ses sujets ne sont jamais conçus d’avance ils sont, au départ. imprévisibles, mais toujours imprégnés d’un christianisme émouvant.

     Parfois on pense à Jérôme Bosch, à Fra Angelico ou au Gréco, quand on cherche une inspiration. mais on s’aperçoit vite que sa palette n’appartient qu’à lui, Philippe Lejeune. par la diversité de sa gamme chromatique, de ses glacis, de ses lumières. par le contraste entre la légèreté de ses flous poétiques et la netteté des visages de ses personnages.

Philippe Eloy


Dessin de Valérie Le Signor
L’atelier de la Vigne dessiné par Valérie Le Signor


[PRÉFACE ATTRIBUÉE A XAVIER DUGOUIN]

Le Temps et l’Affaire

     Imagine-t-on un peintre quittant son atelier, posant ses pinceaux avec l’idée qu’il va prendre enfin le temps de vivre? Pour Lejeune — et tous les vrais artistes sont dans ce cas — n’ayant fait que peindre, la peinture devint nécessairement le lieu de son aventure, et cette aventure devint sa vraie vie,

     Le but de son voyage était de se trouver lui-même. C’est une ambition qui coûte cher et conduit à une découverte qui étonne toujours et déçoit souvent, il faut se résigner à n’être que soi.

     Mais pour partir ainsi à la découverte, il faut bien cependant nommer sa destination. On fait appel alors au nom d’un autre, au nom de celui que l’on voudrait être et que, par définition, on ne sera jamais. Le nom de la gare d’arrivée n’est pas inscrit sur le billet, la destination demeure inconnue, la peinture est toujours l’objet d’un détournement.

     Lejeune a pourtant décidé de partir, c’est la banalité même. Ce qui l’est moins, c’est qu’il n’est pas descendu en marche.

     Embarqué pour l’île de son rêve, Fra Angelico. il est arrivé chez lui. Déception raffinée mais qui réjouit ceux qui aiment sa peinture, qui n’ont que faire d’une redite et veulent découvrir une voix nouvelle. Une voix qui tienne sa partie dans la grande chorale, consonante, bien sûr, mais avec un timbre nouveau suivant la partition classique, mais sans imiter personne, enrichissant l’accord par une inflexion inouïe. Dans l’orchestre de l’histoire de l’Art, constitué exclusivement de solistes, chacun ne peut improviser qu’une «cadence», mais chacun choisit son instrument (heureusement que les timbales ou les triangles ne sont l’objet que de vocations modérées). Si tous étaient timbaliers, ce serait du simple tapage, si chacun jouait de son côté, une cacophonie, si les pianistes aphones s’avisaient de chanter et les chanteurs d’instinct d’écrire «L’art de la fugue», l’aventure n’aurait pas lieu.

     Son voyage n’est pas achevé, il s’est embarqué voilà plus de cinquante ans (ses premières œuvres sont de 1938).

     Le rapprochement de ces quelques images donnera, je l’espère, le sentiment d’une sorte de nécessité. Lejeune demeure devant son chevalet comme il tiendrait un pupitre à l’orchestre. original et respectueux. La partition est toujours nous elle puisque l’interprète la met au monde chaque fois en une création continuée. Le peintre doit donc vivre cette cruelle alternative. Il doit s’absenter de son œuvre pour la laisser vivre et la confier à un interprète qui ne peut être que lui-même. “Drôle de ménage” entre l’exécutant et le compositeur. Choisir serait conclure, l’art n’y survivrait pas.

En Ile de France, le 15 novembre 1992
Xavier Dugouin
Président du Conseil Général
Député de l’Essonne


Dessin de Valérie Le Signor
L’atelier de la Vigne dessiné par Valérie Le Signor



[AVANT-PROPOS DE PHILIPPE LEJEUNE]

Philippe Lejeune dessiné par André Jude      Les artistes savent quelle modeste part ils occupent dans la réussite d’une œuvre. Ils n’ont que l’argument de leur présence sans quoi rien ne se serait produit. Plaidant pour nos fautes, il faut aussi nous défendre d’avoir voulu ce qui est arrivé d’heureux.

     Je n’ai jamais formé le projet d’avoir un atelier. Encore moins d’assister à la naissance de ce qu’il faut bien appeler une «école». «Je n’ai pas voulu cela», disait quelqu’un. Il s’agissait d’un crime, mais Monsieur Vincent l’aurait dit de ses œuvres. Voulu ou non, cet atelier existe à Étampes et mes élèves me dépassent comme il doit arriver si le maître a tenu son rôle.

     Tout ce qu’on peut dire du succès, c’est qu’il n’est pas rédhibitoire et qu’il appartient à ces oligo-éléments dont on a bien du mal à se passer.

     Un atelier! Nommer le contenant pour désigner ce qu’il renferme, c’est la pudeur des peintres qui s’attachent à la forme pour dire l’inexprimable qu’elle contient.

 

Le Lycée (huile sur bois, s.d.)
Misereor super turbam (détrempe à la caséine, 1938)
Le Lycée
(huile sur bois, s.d.)
Misereor super turbam
(détrempe à la caséine, 1938)
 
La résurrection (huile sur toile, s.d.)
Le fils de Paul Gauguin (huile sur toile, s.d.)
La Résurrection
(huile sur toile, s.d.)
Le fils de Paul Gauguin
(huile sur toile, s.d.)
Les fils de Tubal Caïn (huile sur toile, s.d.)
La résurrection de Lazare (huile sur toile, s.d.)
Les fils de Tubal Caïn
(huile sur toile, s.d.)
La Résurrection de Lazare
(huile sur toile, s.d.)
Un royaume pour ceux qui leur ressemblent (huile sur toile, s.d.)
La réponse de la solitude (huile sur bois, s.d.)
Un royaume pour ceux qui leur ressemblent (huile sur toile, s.d.)
La réponse de la solitude
(huile sur bois, s.d.)
Les filles de Lot (huile sur toile, s.d.)
Autoportrait à Ischia (huile sur toile, s.d.)
Les filles de Lot
(huile sur toile, s.d.)
Autoportrait à Ischi
(huile sur toile, s.d.)
Le martyre de saint Sébastien (huile sur panneau, s.d.)
Portrait de Jean-Paul Dormann (huile sur toile, s.d.)
Le martyre de saint Sébastien
(huile sur panneau, s.d.)
Portrait de Jean-Paul Dormann
(huile sur toile , s.d.)
Portrait de Rémy Lejeune (huile sur toile, s.d.)
Portrait de Sophie (huile sur bois, s.d.)
Portrait de Rémy Lejeune
(huile sur toile, s.d.)
Portrait de Sophie
(huile sur bois, s.d.)
Portrait de ma mère (huile sur bois, s.d.)
L'annonce aux bergers (huile sur toile, s.d.)
Portrait de ma mère
(huile sur bois, s.d.)
L’annonce aux bergers
(huile sur toile, s.d.)
Le droit d'asile (huile sur toile, s.d.)
La vocation des apôtres (huile sur bois, s.d.)
Le droit d’asile
(huile sur toile, s.d.)
La vocation des apôtres
(huile sur bois, s.d.)
La nativité (huile sur toile, s.d.)
La résurrection de Lazare (huile sur toile, s.d.)
La nativité
(huile sur toile, s.d.)
La résurrection de Lazare
(huile sur toile, s.d.)
La résurrection de Lazare (huile sur toile, s.d.)
La mission de saint Roch (vitrail, s.d.)
Le jardin des oliviers
(huile sur toile, s.d.)
La mission de saint Roch
(vitrail, s.d.)
Jésus chassant les marchands du Temple (huile sur toile, s.d.)
Jésus au milieu des docteurs (huile sur toile, s.d.)
Jésus chassant les marchands du Temple (huile sur toile, s.d.)
Jésus au milieu des docteurs
(huile sur toile, s.d.)
La résurrection des morts en Beauce (huile sur toile, s.d.)
Les docteurs de l'Eglise (huile sur bois, s.d.)
La résurrection des morts en Beauce
(huile sur toile, s.d.)
Les docteurs de l’Eglise
(huile sur bois, s.d.)
Le reniement de saint Pierre (huile sur bois, s.d.)
L'adoration des bergers (huile sur bois, s.d.)
Le reniement de saint Pierre
(huile sur bois, s.d.)
L’adoration des bergers
(huile sur bois, s.d.)
L'onction à Béthanie (icône à fond d'or, détrempe à l'oeuf sur bois, s.d.)
es marchands du Temple (huile sur toile,  s.d.)
L’onction à Béthanie
(huile sur toile, s.d.)
Les marchands du Temple
(huile sur toile, s.d.)
Les Pères de l'Eglise (huile sur panneau,  s.d.)
La descente de croix (huile sur bois,  s.d.)
Les Pères de l’Eglise
(huile sur panneau, s.d.)
La descente de croix
(huile sur toile, s.d.)
La transverbération de sainte Thérèse (huile sur panneau, s.d.)
Le songe de Jacob (huile sur bois, s.d.)
La transverbération de sainte Thérèse
 (huile sur panneau, s.d.)
Le songe de Jacob
(huile sur bois, s.d.)
Elie et Elisée (huile sur panneau, s.d.)
La nuit obscure de saint Jean (huile sur panneau, s.d.)
Elie et Elisée
 (huile sur panneau, s.d.)
La nuit obscure de saint Jean
(huile sur panneau, s.d.)
La mort de la Vierge (huile sur bois, s.d.)
La condition des pécheurs (huile sur toile, s.d.)
La mort de la Vierge
(huile sur bois, s.d.)
La condition des pécheurs
(huile sur toile, s.d.)
Le sermon sur la montagne (huile sur bois, s.d.)
Tolle et lege (huile sur panneau, s.d.)
Le sermon sur la montagne
(huile sur bois, s.d.)
Tolle et lege
(huile sur panneau, s.d.)
L'acte des apôtres (huile sur toile, s.d.)
Le Lycée (huile sur bois, s.d.)
L’acte des apôtres
(huile sur toile,  s.d.)
Le Lycée
(huile sur bois, s.d.)

 

[POSTFACE AUTOBIOGRAPHIQUE]


Portrait de ma mère (huile sur bois, s.d.)      Je suis né à Montrouge, Seine, le 15 novembre 1924.

     Ma mère était très musicienne et tenait la partie de violon dans un quatuor d’amateurs.

     Mon père traversa la vie en compagnie de Montaigne et d’Eschyle qu’il lisait dans le texte.

     J’ai appris à lire dans les livres qu’il avait annotés et ce que j’ai compris, c’est ce qu’il avait aimé.

    Études classiques au collège Stanislas à Paris.

     À 13 ans, grâce à ma mère, je suis un habitué du Louvre.

Autoportrait à Ischia (huile sur toile, s.d.)      En 1941, je suis accepté par Maurice Denis dans son “Atelier d’Art Sacré” de la place Furstenberg. Je profite des conseils de Georges Desvallières et deviens élève de Jean Souverbie. J’obtiens une bourse de voyage au Prix National en 1948. Séjour en Océanie. Je me marie en 1951 et ai le bonheur d’avoir trois filles.

     Pendant onze ans, et sans interrompre la peinture, j’exécute les maquettes. cartons et peintures sur verre de vitraux. Nombreuses églises en Normandie et en Bretagne.

     À partir de 1960, des contrats réguliers me permettent de vivre de mes tableaux

     Connaissance des Arts, Galerie de Paris. collectionneurs. Galerie Gorosane.

     En 1968, voyage au Népal et séjour en Inde.

     Ouverture d’un atelier d’Arts plastiques à Étampes, atelier qui demeure en s’agrandissant toujours.

     En 1970, ouverture d’un atelier de peinture et gravure en milieu carcéral à Fleury-Mérogis.

     En 1974, je suis nommé “sur œuvres” conservateur du Musée d’Étampes.

     J’expose régulièrement au Salon des Artistes français, où j’ai obtenu, en 1989, la Médaille d’Honneur. La Fondation Taylor m’a honoré du Prix Baudry.

Philippe Lejeune vu par Nathalie Gobin      Je demeure attaché à la peinture d’histoire d’inspiration biblique, sans négliger le portrait.

     Mes élèves me font beaucoup d’honneur et les récompenses qu’ils obtiennent aux concours de l’Institut me laissent croire au bien-fondé de mes conseils.

     Talis vita mea...

 
BIBLIOGRAPHIE

Éditions
Philippe Lejeune vu par Nathalie Gobin

     LES AMIS DE L’ATELIER DE LA VIGNE À ÉTAMPES, Philippe Lejeune [24 cm; non paginé; 48 p.; illustrations en couleur; avec des avant-propos de: Nathanie Gobin; Jérôme Lejeune; Philippe Eloy; Xavier Dugoin; Philippe Lejeune], Étampes, Les Amis de l’Atelier de la vigne, 1992. 

     Bernard GINESTE [éd.], «Philippe Lejeune: Quarante et une œuvres de 1938 à 1992 (publiées par les Amis de l’attelier de la Vigne en 1992)», in Corpus Étampois,
Autre catalogue en ligne

     VILLE D’ÉTAMPES [éd.], Philippe Lejeune. 25 janvier - 9 mars 1997, Hôtel Anne de Pisseleu, Ville d’Étampes [cahier de 20 cm sur 20; 26 p. non paginées; 23 illustrations couleur dont deux sur les pages 1 et 4 de couverture; préfaces de Franck Marlin, député-maire, de Patrice Maitre, adjoint, et de Jérôme Lejeune, de l’Institut  et de l’Académie pontificale des sciences, frère de l’artiste], Étampes, Ville d’Étampes, 1997.

     Bernard GINESTE [éd.],
«Philippe Lejeune: Vingt-trois œuvres exposées à Étampes en 1997 (catalogue illustré)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-20-philippelejeune1997expo-etampes.html, 2005.

Sur Philippe Lejeune

     Bernard GINESTE, «Philippe Lejeune, une bibliographie (depuis 2010)» in Corpus Étampois, http://corpusetampois.com/cbe-philippelejeune.html, depuis 2010.

     LES CHERCHEURS D’ART (Association créée par les trois filles de Philippe Lejeune, Sophie CHOUSSY, Bérénice CANNAVO et Valérie LEJEUNE, et ses élèves Geneviève DECROIX, Robert VERLUCA et Jacques ROHAUT) [éd.], Philippe Lejeune, peintre du sacré [site officiel], http://www.philippelejeune.fr/index.html, en ligne en 2007.
 

Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
   
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