CORPUS DES ÉTABLISSEMENTS ÉTAMPOIS
 
Corpus Étampois
Le moulin Bonté
compilation
     
Le moulin Bonté en 2007 (cliché Bernard Gineste)
Le moulin Bonté en 2007 (cliché Bernard Gineste)

     On se propose dans cette page de réunir tout ce qu’on aura pu savoir du moulin Bonté, à savoir tous les renseignements, les documents et les références bibliographiques ou archivistiques qu’on voudra bien nous adresser. On mentionnera le nom de tous les contributeurs qui n’auront pas demandé à rester anonymes.

Le moulin Bonté (AME, vers 1815)
Le moulin vers 1820 (plan conservé aux Archives municipales, cliché Bernard Gineste)

Le moulin de Saclas, alias moulin Bonté, sur le plan du cadastre de 1827
Le moulin de la rue de Saclas, alias moulin Bonté, sur le plan du cadastre de 1827 (sacn des AD91)

Le moulin Bonté sur un plan, vers 1822 (AD91, cliché Frédéric Gatineau)
Le moulin Bonté sur un plan, vers 1822 (AD91, cote à retrouver, cliché Frédéric Gatineau)

Le moulin Bonté sur un plan, vers 1822 (AD91, cliché Frédéric Gatineau)
Même plan, vers 1822 (cliché Frédéric Gatineau)

Annonce parue dans l'Abeilled'Etampes du 16 juillet 1853

Annonce parue dans l’Abeille d’Étampes
du 16 juillet 1853

Annonce parue dans l'Abeilled'Etampes du 16 juillet 1853


Le moulin Bonté sur un plan de 1854 (AD91, cliché Frédéric Gatineau)
Le moulin Bonté sur un plan de 1854 (AD91, coté à retrouver, cliché Frédéric Gatineau)

Mise en location du moulin Bonté en octobre 1877
L'Abeille d'Étampes du 30 juin 1877

Signature de Bouché et de son gendre Bouvard en 1899
Signatures du meunier Edmond Bouché et de son gendre Paul Bouvard en 1899

Le moulin Bonté en 2007 (cliché Bernard Gineste)
Le moulin Bonté en 2007 (clichés Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2007 (cliché Bernard Gineste)

REQUÊTES DU CORPUS
 
     Nous serions très reconnaissants à toute personne qui pourrait nous communiquer:
     
— Cotes exactes des plans ci-dessus reproduits (aux Archives départementales de l’Essonne).
     — Toute donnée généalogique sur les propriétaires et les locataires du moulin à travers les siècles, et sur ses garçons-meuniers et autres employés depuis 1768.
     — Tout autre renseignement ou document sur le moulin Bonté, notamment sur son histoire récente, spécialement avant guerre, pendant la guerre et depuis.
     — Toute autre référence bibliographique ou archivistique sur ce moulin.
 
Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)
Le moulin Bonté en 2010 (clichés Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté en 2010 (cliché Bernard Gineste)

Le moulin Bonté
Renseignements disponibles


Date
Renseignements
Sources
1745
Contrat de mariage de Nicolas Bonté meunier du moulin du Pont (Branleux d’En-Haut?) avec Jeanne Baron fille de charron dotée de 1000livres.
Martin 19 (qui a lu Bouté, les N et le U s’écrivant pratiquement de la même manière dans les manuscrits du temps) alléguant ADE91 2E 66/225.
1764
Nicolas Bonté meunier du moulin de l’Hospice acquiert un édifice en ruine.
SV&SH 66 (sans référence)
1764
Le meunier Nicolas Bonté  achète un terrain aux héritiers d’Anjouan pour y construire un nouveau moulin.
FG-ELP 113 alléguant AD91 7S 38.
1768
Le moulin est construit par Bonté.
Marquis 105 alléguant le Manuscrit des moulins aux archives départementales (c’est-à-dire, à cette date, aux archives de Seine-et-Oise, à Versailles); FG-ELP 113; Martin 17; SV&SH 66 dit: “reconstruit”, sans doute par erreur.
1768
Ce moulin est exploité par Ingé.
Marquis 105 alléguant le Manuscrit des moulins.
1768
Un procès verbal du bailliage d’Étampes, en date du 17 mai 1768, règle le déversoir et les vannes du moulin. Il fera toujours référence en 1838.
État des moulin de 1838, édition Gineste (ici)
1773
Le moulin est loué pour 900 livres.
Martin 17 alléguant AD91 2E 66/253.
1773
Jacques, le fils du mercier locataire du moulin en 1773, et neveu de Nicolas, s’intitule garçon-meunier la même année lorsqu’il épouse Marie-Madelaine Berchère.
Martin 2009, p. 19, sans référence.
1773
Le 27 avril, mariage du fils du propriétaire du moulin à Saint-Martin: “L'an mil sept cent soixante te treize le mard1 vingt septieme jour du mois d'avril, les fiançailles célébrées le quatorze mars dernier à Fresnai l'Eveque, diocèse de Chartres, suivant qu'il appert par le certificat du sieur Roulleau curé du dit  Fresnai en datte du même jour, après trois bans publiés en cette église et en celle du dit Fresnai l'Evêque par trois jours de dimanches et festes consécutifs  sans oppoistion du futur mariage  entre Nicolas Bonté fils mineur de Nicolas Bonté marchand farinier et de Jeanne Baron ses pere et mere presens et consentants, demeurant de fait et de droit sur cette paroisse d'une part, et Angelique Margueritte Guenée fille mineure de Louis Philippe Guenée laboureur, et d'Angélique Utrope Fontaine ses pere et mere présens et consentants, demeurants de fait et de droit au dit Fresnai l'Evêque d'autre part, vû le certifficat des bans du dit sieur curé du dit Fresnai portant permission de célébrer le mariage des dites parties en cette église en datte du vingt trois de ce mois, signé Roulleau, j'ai soussigné prestre curé de cette paroisse procédé à la célébration du dit mariage d'entre les susdites parties après avoir pris et reçu leur consentement mutuel par paroles de présent. Ont été témoins au dit mariage de la part de l'époux de Jean Baptiste Bonté oncle, de cette paroisse, de Grégoire Augustin d'Avoust marchand boisselier aussi de cette paroisse son cousin germain, et de la part de l'épouze Denis Eutrope Guenée son frère demeurant à Oysonville, de Charles Nicolas Landry marchand épicier paroisse Saint Gilles son cousin germain, et autres parents qui ont signés ou declarés ne le savoir de ce enquis suivant l'ordonnance.  [Signé:] Nicolas Bonté  Angelique Margueritte Guenée  Nicolas Bonté  M. L. Guenée  Landry Lamet  L. Guenée  M. Marcille  Bonté  Jeanne Baron  Rose Bonté femme Guenée  Anne Bonté Augustin Gregoire Davoust Legrand [paraphe] curé.
Registre paroissial de Saint-Martin (saisie de Bernard Gineste, 2011)
1775
Mention de ce moulin
FG-ELP 113 alléguant AD91 7S 38.
1783
Nicolas Bonté (II?) meunier à Notre-Dame achète la charge de commissaire de police à Jean-François Menault pour 500 livres.
Martin 19 (qui a lu Bouté, les N et le U s’écrivant pratiquement de la même manière dans les manuscrits du temps) alléguant ADE91 2E 67/18.
1800-1854 Pièces relatives au moulin de la rue de Saclas sur la Louette Archives municipales d’Étampes 3O D14 (inventaire de Clément Wingler).
1801
Le moulin de Saclas, ou de Bonté, dont le meunier et contribuable est Inger, a une roue dessous et peut moudre 1,5 quintaux de farine par jour pour les marchands et les négociants.
État des moulin de 1801, édition Gineste (ici)
1810

État des moulin de 1810, édition Gineste (ici)
1816

État des moulin de 1816, édition Gineste (ici)
1817

Recensement de 1817 conservé aux Archives municipales d'Étampes (saisie Bernard Gineste, 2011).
1822
Le meunier est ??
État des moulin de 1822, édition Gineste (ici)
1822 env.
Le moulin est représenté sur un plan alors qu’il appartient à M. Penot.
AD91, cote à retrouver, cliché de Frédéric Gatineau ci-dessus.
1830
Le moulin produit 300 sacs de farine par mois pour Paris.
État des moulin de 1830, édition Gineste (ici)
1831
Le moulin a pour propriétaires les héritiers Penot-Huet et emploie deux ouvriers.
État des moulin de 1831, édition Gineste (ici)
1834
??
État des moulin de 1834 édition Gineste (ici)
1835
Le moulin n’a qu’une roue.
État des moulin de 1835, édition Gineste (ici)
1836
Le recensement de 1836 trouve au n°1 de la rue de Saclas: “Marie Geneviève Veret veuve Girault, journalière, 45 ans Geneviève Françoise Girault, sa fille, 16 ans Jean François Michel, journalier, 65 ans François Damoireau, sa femme, 65 ans Magloire Rousseau, charron, 53 ans — Zoé Rousseau, sa fille, 19 ans Louis Rabottin, fabricant en bas, 47 ans Joséphine Lelièvre, sa femme, 50 ans Gabriel Pierre, meunier, 44 ans Anne Duclos, sa femme, 35 ans Annette Pierre, leur fille, 13 ans Julie Pierre leurs fille, 12 ans Gabriel Pierre, leur fils, 10 ans Auguste Pierre, leur fils, 6 ans Antoinette Lecoq, domestique, 21 ans Antoine Venot, domestique, 36 ans”.
Recensement de 1836, réédition numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011).
1838
Le moulin, dont les propriétaires sont les héritiers Penot-Huet, faisant de blé farine, est mu par une seule roue et occupe deux hommes. Son déversoir et ses vannes sont toujours réglés par le procès verbal du bailliage d’Étampes en date du 17 mai 1768.
État des moulin de 1838, édition Gineste (ici)
1841


1843
Mariage du garde-moulin François-Stanislas Pierre (qui plus tard sera meunier du Moulin à Peau, puis de celui de Vauroux). — “N° 19 — Pierre et Antien — Du lundi quinze mai mil huit cent quarante-trois, heure de midi. — Sont comparus devant nous François Charles Cresté, maire de la ville d’Etampes officier de la légion d’honneur et officier public de l’état civil de la dite ville — Le sieur François Stanislas Pierre, gardemoulin âgé de vingt six ans, domicilié de cette ville rue de Saclas né en la commune de Saint-Hilaire commune de ce canton le vingt quatre décembre mil hui cent seize, fils majeur en en légitime mariage de feu Jeanpierre Pierre, en son vivant journalier décédé à Chalo Saint Mars commune de ce canton le deux décembre mil huit cent trente sept, et de feu Marie Reine Julie Sergent son épouse décédée au dit lieu le trente mai mil huit cent trente deux. — Et la demoiselle Célestine Louise Antien couturière âgée de vingt quatre ans domiciliée chez son père née à Étampes le cinq mai mil huit cent dix neuf, fille majeure été en légitime mariage de Jean Louis Antien grainetier âgé de soixante quatre ans domicilié de cette ville rue Saint-Martin et de feu Marie Flore Pélagie Fougeron son épouse décédée au même lieu le onze aout mil huit cent quarante deux. — Lesquels nous ont représenté leurs actes de naissance, les actes de décès des père et mère du futur dont dans l’acte de décès de la mère du futur ses aieux maternels sont mentionnés, les actes de décès, primo de Louis Pierre en son vivant laboureur décédé à Étampes le vingt six avril mil sept soixante dix, secundo l’acte aussi de décès de Anne Hélène Bordier épouse du précédent décédée en la commune de Saint Hilaire le seize floréal an treize (six mai mil huit cent cinq) aieux paternels du dit futur, l’acte également de décès de la mère du futur et les actes de publication du présent mariage faits en cette ville les dimanches vingt trois et trente avril derniers sans opposition, l’autorisation donné au futur de contracter le présent mariage par monsieur le maréchal de camp commandant la deuxième subdivision de la première division militaire en date à Versailles le six mai présent mois. — Et après avoir visé ces pièces pour être annexées nous en avons donné lecture aux parties comparantes assistées des quatre témoins ci-après nommés et qualifiés ainsi que du chapitre six du titre du mariage sur les droits et devoirs respectifs des époux. — Ensuite nous avons reçu la déclaration du sieur François Stanislas Pierre qu’il prend pour sa légitime épouse la demoiselle Célestine Louise Antien, et celle de la demoiselle Célestine Louise Antien qu’elle prend pour son légitime époux le sieur François Stanislas Pierre. — Lesquels conformément au décret du trente mars mil huit cent huit ont déclaré et affirmé par serment que c’est par erreur si dans les actes de décès des père et mère du futur, son père y est dénommé sous les prénoms de Pierre Jean, que l’ordre de ses prénoms sont Jean Pierre, que c’est aussi par erreur si dans l’acte de décès du père du futur sa mère n’y est dénommée que sous le seul prénom de Marie, que ses vrais prénoms sont Marie Reine Julie, que c’est également par erreur dans l’acte de naissance de la future le nom de famille de sa mère est écrit Fourgeron, que ce nom est et s’écrit Fougeron, ce que les témoins ont également déclaré et affirmé par serment — En conséquence nous avons déclaré au nom de la loi que le sieur François Stanislas Pierre et la demoiselle Célestine Louise Antien sont unis par le mariage. — Tout ce que dessus fait à Étampes en l’hotel de la mairie les dits jour, mois et an en présence et du consentement du père de la future et aussi en présence des sieurs Pierre Gabriel propriétaire, âgé de quatre vingt un ans, oncle paternel de l’époux, domicilié de cette ville, Louis Désiré Pierre charretier âgé de trente cinq ans frère de l’époux, domcilié à Chalo Saint Mars, Pierre Fougeron marchand de farine agé de quatre vingt six ans, grand père maternel de l’épouse, et André Vincent Caillet journalier âgé de quarante quatre ans, ces deux derniers domiciliés de cette ville, qui ont signé avec les époux et nous maire susnommé, le père de l’épouse a déclaré ne le savoir après lecture faite. — [Signé :] C. L. Antien — F. S. Pierre — C. Cresté — Gabril [sic] Pierre — Pierre — L. D. Pierre — Fougeron — A. V. Caillet.
AD91 4E 1292 (saisie de B.G, 2020)
1846


1851


1852
Le moulin de Saclas est tenu et/ou possédé par Charlot Huet qui habite rue Saint-Antoine (comme Théodore Huet père qui tient et/ou possède alors le moulin d’En-Haut)
État des moulin de 1852, édition Gineste (ici)
1853
Le 14 février , le même “Charles Huet propriétaire agé de quarante quatre ans aussi neveu du décédé” déclare à la mairie le décès de son oncle “Théodore Huet, propriétaire âgé de soixante huit ans natif de Morigny”.
Registre d’État civil d’Étampes (saisie Bernard Gineste, 2011; texte dans notre notice sur le moulin d’En-Haut)
1853
Abeille d’Étampes 42/29 (16 juillet 1853), p. 6 : “Dissolution de société. — D’un acte fait sous double seings privés à Paris, le trente juin mil huit cent cinquante-trois, enregistré à Paris le quatre juillet suivant; — Entre monsieur Alphonse-Stanislas Chasles, meunier demeurant à Pierrebrou, commune d’Étréchy, canton et arrondissement d’Étampes (Seine-et-Oise), d’une part; — Et madame Louise-Zoé Poyet, veuve de monsieur Alexandre-Gaspard Chasles, demeurant à Paris, rue Beaujolais (Palais-Royal), n°11; agissant au nom et comme tutrice naturelle et légale de André-Alexandre-Gaspard Chasles, fils mineur issu de son mariage avec ledit feu sieur Alexandre-Gaspard Chasles; et encore, ladite dame, agissant en tant que de besoin en son nom personnel à cause de ses reprises, créances et droits matrimoniaux, d’autre part; — Appert avoir été extrait ce qui suit: — Par l’article premier dudit acte, la Société établie entre feu monsieur Alexandre Gaspard Chasles et monsieur Alphonse-Stanislas Chasles son frère, d’abord par conventions verbales du vingt-deux septembre mil huit cent cinquante-un, et ensuite par acte fait double sous seings privés entre les dites parties, le trente octobre mil huit cent cinquante-deux, enregistré à Paris, premier bureau, le trois novembre suivant, pour l’exploitation du commerce de la meunerie dans les moulins de Pierrebrou et de la rue de Saclas, à Étampes, ladite Société connue sous la raison Chasles frères, a été dissoute à partir du trente avril mil huit cent cinquante-trois au soir. — Par l’article deuxième, monsieur Alphonse-Stanislas Chasles a été nommé liquidateur de ladite Société dissoute et investi de tous les pouvoirs à ce nécessaires. — Par l’article troisième et dernier, monsieur Alphonse-Stanislas Chasles a été constitué mandataire, à l’effet de faire enregistrer, publier et afficher par extrait ledit acte de dissolution de société, conformément à la loi. — Certifié véritable,  — Chasles.”
Abeille d’Étampes 42/29 (16 juillet 1853), p. 6 (transcription Bernard Gineste 2011), dont un scan ci-dessus.
1856


1861


1864 Origine du nouveau meunier, Ferdinand Filou.

Le 17 mars 1811, naissance à Sermaise (91) du père du meunier, Pierre Mathieu Ferdinand Filou, fils d’un cultivateur demeurant à Sermaise, Charles Ferdinand Filou, et de sa femme Marie Madeleine Marcou. Lors de son décès survenu le 14 juillet 1834, le grand-père du meunier, âgé de 54 ans, est qualifié cultivateur propriétaire au hameau de Blancheface, adjoint au maire de Sermaise, beau-frère de l’épicier étampois Pierre Hautefeuille. On voit ensuite que le père de notre meunier, installé à Villeconin, conserve des liens et sans doute des terres à Blancheface, car nous voyons son second fils Sosthène, né le 30 novembre 1841 à Villeconin, décéder le 12 août 1842 à Sermaise.

Le 30 avril 1837, naissance à Villeconin (91) du futur meunier: “Du premier mai mil huit cent trente sept, heure de neuf heures du matin. Acte de naissance Ferdinand Filou, du sexe masculin, né hier à neuf heures du soir chez ses père et mère, fils de Pierre Mathieu Ferdinand Filou, cultivateur à Saudreville, hameau de cette commune de Villeconin [appel de croix: âgé de vingt six ans], et de Henriette Justine Denise Langevin, mariés, domiciliés en cette commune. — Les témoins ont été messieurs Hubert Petit [appel de croix: âgé de vingt-neuf ans, cuisinier demeurant en cette commune, voisin de monsieur Filou, et Monsieur Fauché Antoine, [2 mots illisibles], [appel de croix: âgé de vingt six ans], voisin de  monsieur Filou et demeurant aussi en cette commune.  L’enfant nous a été présenté et la déclaration faite par monsieur Pierre Mathieu Ferdinand Filou, père de l’enfant, qui a signé avec nous et avec les témoins. Fait par nous maire de Villeconin et signé après lecture, — [Signé:] P. M. F. Filou — A. Fauché — Hubert Petit — De Rotrou [paraphe].

Registres d’état civil de Sermaise et de Villeconin (saisie Bernard Gineste, 2011) —
1864      
Le 21 décembre, mariage à Paris du nouveau meunier: “L’an mil huit cent soixante quatre, le vingt et un décembre à deux heures du soir par devant nous Jean Dufour, chevalier de la légion d’honneur, adjoint au maire et officier de l’état civil du deuxième arrondissement de Paris.  Sont comparus: Ferdinand Filou, né à Villeconin, arrondissement d’Etampes (Seine et Oise) le trente avril mil huit cent trente sept, meunier, demeurant à Etampes, majeur, fils de Pierre Mathieu Ferdinand Filou, âgé de cinquante trois ans, cultivateur, et de Henriette Justine Denise Langevin, son épouse, âgée de cinquante deux ans, sans profession, demeurant à Dourdan (Seine et Oise), tous deux ici presens et consentans, d’une part,  Et Victoire Marie Emélie Jacquemont, née à Ingonville, arrondissement du Havre (Seine Inférieure) le quatorze octobre mil huit cent quarante cinq, sans profession, demeurant à Paris, boulevard Poissonnière N°25, chez monsieur Beurdeley, propriétaire, son tuteur, mineur, fille de Benjamin Denis Jacquemont, et de Adélaïde Beurdeley, son épouse, décédés, lui au Havre le douze décembre mil huit cent cinquante huit, elle à Paris, sur le dixième arrondissement le vingt sept janvier mil huit cent soixante et un, la future autorisée par délibération de son conseil de famille ci après énoncé [appel de croix:] d’autre part.  Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration de leur mariage, dont les publications ont été faites et affichées aux termes de la loi et sans opposition à cette mairie et aux mairies du Havre et d’Etampes les dimanches quatre et onze décembre courant; faisant droit à leur réquisition, après avoir donné lecture des dites publications, des actes de naissance des requérants, des actes de décès des père et mère de la requérante, des actes de décès de ses aïeuls et aïeuls paternels et maternels, d’un extrait du procès verbal de la dite délibération tenue sous la présidence de monsieur le juge de paix du canton nord du Havre le six décembre courant délivré maître Froussely notaire à Paris, dépositaire d’une copie du dit procès verbal aux termes d’un acte de dépôt en date du dix neuf décembre courant, et du chapitre six du titre du code Napoléon intitulé Du mariage, nous avons demandé au futur époux et à la future épouse s’il veulent se prendre pour mari et pour femme, et chacune d’eux ayant répondu séparément affirmativement, nous avons déclaré, au nom de la loi, que: Ferdinand Filou et Victoire Marie Emélie Jacquemont sont unis par le mariage. Treize pièces paraphées sont annexées au présent acte. Ce fait en séance publique à l’hôtel de la mairie, en présence de messieurs :  Adolphe Robineau, âgé de soixante deux ans, propriétaire, demeurant à Paris, quai Lepelletier N°6, oncle de l’époux, Marcou Filou, âgé de cinquante et un ans, confiseur, demeurant à Paris, rue Vivienne N°31, oncle de l’époux,  Emile Maurice Beurdeley, âgé de vingt quatre ans, ingénieur civil, demeurant à Paris boulevard Poissonière N°25, cousin de l’épouse et Paul Ernest Beurdeley, âgé de vingt deux ans, étudiant en droit, demeurant à Paris, boulevard Poissonnière N°25, cousin de l’épouse. Interpellés préalablement au prononcé du mariage, les époux et les père et mère de l’époux ont déclaré qu’ils ont fait un contrat de mariage reçu par maître Frounelle, notaire à Paris, cejourd’hui vingt et un décembre, ainsi qu’il résulte du certificat qui nous a été remis, et ont signé avec les témoins et nous lecture faite.  [Signé:] V. M. E. Jacquemont  F. Filou  H. J. D. Langevin  P. M. F. Filou  M. Beurdeley  Robineau  Filou  E. M. Beurdeley  P. Beurdeley  Dufour a.
Registre d’état civil de Paris (saisie Bernard Gineste, 2011)


Signature de Ferdinand Filou en 1864
Signature de Ferdinand Filou en 1864
1865
Le 6 novembre, naissance de la fille du meunier: Du mardi sept novembre mil huit cent soixante cinq, quatre heures de relevée.  Acte de naissance de Jeanne Lucie Filou (1), du sexe féminin, née hier à quatre heures du soir, chez ses père et mère, fille de Ferdinand Filou, meunier, âgé de vingt huit ans, et de Victoire Marie Emélie Jacquemont, son épouse, âgée de vingt ans, domicilés de cette ville rue de Saclas.  Les témoins ont été les sieurs Louis Auguste Baron, meunier, âgé de quarante sept ans, et Michel Bienaimé Duperche employé à cette mairie, âgé de quarante sept ans, domiciliés de cette ville. - Sur la représentation de l’enfant et sur la déclaration du père d’icelle qui a, ainsi que les témoins, signé avec nous Faustin Frédéric Barré, adjoint spécialement délégué par le maire d’Etampes, après lecture faite.  [Signé:] Auguste Baron  Chenu  Filou  Fred. Barré adj. Registre d’État civil d’Étampes (saisie Bernard Gineste, 2011).
1865-1868
Mention de Filou comme meunier à Étampes par l’Annuaire du département de Seine-et-Oise de 1865 au tout début de début 1869, mais non plus en 1870. En fait l’annuaire de 1869 n’est pas à jour, car Filou est déjà fixé à Paris le trois janvier de cette année-là. Extrait des Annuaires de Seine-et-Oise de 1865 à 1870 édités en ligne ici.

1866


1868
Sort ultérieur du meunier Ferdinand Filou.

Le 3 janvier 1869, naissance à Paris du fils de l’ancien meunier passé représentant de commerce: “Du trois janvier mil huit cent soixante neuf à dix heures trois quarts du matin. — Acte de naissance de Georges Eugène Filou, à nous présenté et déclaré, du sexe masculin, né avant-hier à une heure du matin, au domicile de ses père et mère à Paris, avenue Parmentier, N°10, (XIe mairie), fils de Ferdinand Filou, représentant de commerce âgé de trente un ans, et de Emélie Marie Victoire Jacquement, son épouse, sans profession, âgée de vingt-trois ans. Cette déclaration est faite par le père en présence de François Briard, concierge, âgé de trente-huit ans, demeurant comme dessus, et de Henri Soulière, marchand de vin, âgé de trente-trois ans, demeurant comme dessus, lesquels ont signé avec nous, officier de l’état civil, lecture faite.  [Signé:] Fer. Filou — Briard — Soulière — [illisible].
Filou serait ensuite passé comptable (Walraet, ici).

Jeanne Lucie Filou, née à Étampes le 6 novembre 1865, sera mariée en 1887, à Paris, à Ferdinand Bouché, rédacteur administratif, à qui elle donnera six enfants: Pierre, Jacques, Madeleine, André et Denise Bouché (Walraet, ici).
Filou n’est pas un ascendant du meunier Albert Filou, qui a tenu le moulin Darnatal de 1909 à 1932 et qui descendait d’une famille de cultivateur de Sermaise puis de Villeconin.
Registre d’état civil de la mairie du XIe arrondissement de Paris, saisie de Bernard Gineste, 2011)  — Jean Walraet, “Descendance de Marcille Aubin N° 14336”, in “Arbre généalogique Jean Walraet”, in GeneaNet, ici, en ligne en 2011.
1869
Ferdinand Filou est remplacé, probablement déjà par Louis Chedeville, qui tient aussi le moulin d’En-Bas tout voisin.
Cf. supra et infra.
1872


1875
Mariage de la fille du meunier (qui habite au moulin d’En-Bas qu’il tient aussi) avec Bouché, commis meunier des moulins de la Trinité: “Du lundi seize aout mil huit cent soixante quinze, dix heures du matin, sont comparus devant nous Alphonse Philippe Auguste Brunard, maire de la ville d’Etampes, chevalier de la légion d’honneur, officier de l’état civil de la dite ville. — Le sieur Edmond Paulin Bouché, commis meunier, âgé de vingt-cinq ans, demeurant chez son père, né à Étampes le dix-neuf novembre mil huit cent quarante-neuf, fils majeur de Jean Louis Bouché, propriétaire, âgé de cinquante-neuf ans, domicilié de cette ville rue du Haut-Pavé numéro trente-sept et de feu Victoire Amélie Dauvilliers, son épouse, décédée à Étampes, le vingt-huit avril mil huit cent cinquante. — Et la demoiselle Louise Félicie Céline Chedevile, sans profession, agée de dix-neuf ans, demeurant chez ses père et mère, née en la commune de Boissy la Rivière (Seine et Oise) le vingt six octobre mil huit cent cinquante cinq, fille mineure de Louis Chedeville meunier agé de cinquante-quatre ans et de Félicité Vrament son épouse, agée de quarante-huit ans, domiciliés de cette ville rue Saint-Martin numéro sept. — Lesquels nous ont présenté leurs actes de naissance, l’acte de décès de la mère du futur, un certificat délivré à la date d’hier par le maître Hautefeuille notaire d’Etampes constatant que les futurs époux ont fait un contrat de mariage et les actes de publication du présent mariage faits en cette ville les dimanches vingt-cinq juillet dernier et premier aout courant sans opposition. — Et après avoir visé pour être annexés, l’acte de naissance de la future, le certificat délivré par le notaire et les actes de publication, nous en avons donné lecture aux parties comparantes assistées de quatre témoins ci-après nommés et qualifiés, ainsi que du chapitre six du titre du mariage sur les droits et devoirs respectifs des époux. — Ensuite nous avons reçu la déclaration du sieur Edmond Paulin Bouché qu’il prend pour sa légitime épouse la demoiselle Louise Félicie Celine Chedeville et celle de la demoiselle Louise Félicie Céline Chedeville qu’elle prend pour son légitime époux le sieur Edmond Paulin Bouché. — En conséquence, nous avons déclaré au nom de la loi que le sieur Edmond Paulin Bouché et la demoiselle Louise Félicie Celine Chedeville sont unis par le mariage. — Tout ce que dessus fait à Etampes, en l’hôtel de la mairie, les portes ouvertes, les dits jour, moi et an, en presence et du consentement du père de l’époux, des père et mère de l’épouse, et aussi en présence des sieurs Edme Sébastien Ravier, propriétaire, agé de soixante deux ans, oncle de l’époux à cause de Louise Zelina Bouché son épouse, domicilié de cette ville, Auguste Emile Malizard bijoutier, agé de trente-sept ans, beau frère de l’époux à cause de Théodule Marie Bouché son épouse, demeurant à Paris rue de Ruel numéro vingt-sept, Ernest Vrament, ancien notaire, agé de cinquante-cinq ans, demeurant à Baron (Oise) oncle de l’épouse, et Marie Edouard Fauriez, marchand boucher, agé de vingt-cinq ans, demeurant à Paris rue du Dragon, numéro vingt-deux, cousin de l’épouse, qui ont signé avec les époux, le père de l’époux, les père et mère de l’époux et nous maire susnommé après lecture faite. — [Signé:] L. F. C. Chedeville — E. P. Bouché — Bouché — Chedeville — F. Vrament — E. Vrament — E. Malizar — E. Ravier — Fauriez — Al. Brunard.”
Registre d’État civil d’Étampes (saisie Bernard Gineste, 2011;
1876


1877



Annonce de mise en location. Étude de Me Dardanne, notaire à Étampes. — A louer, pour entrer en jouissance le 15 octobre 1877, le Moulin-Neuf sis à Étampes, rue de Saclas, aveccour, écurie, jardins et dépendances. Appartenant à M. Penot-Conty, et exploité actuellement par M. Chedeville. S'dresser au dit Me Dardanne, notaire. 2-2
L'Abeille d'Étampes du 30 juin 1877 (dont un scan ci-dessus; saisie de B.G., 2020)
1881
Le moulin Bonté, dit aussi de Saclas, sur la Louette, au début de la rue de Saclas à gauche, est tenu par Chedeville (qui tient aussi le moulin d’En-Bas). Cest un simple moulin à eau, dont les deux paires de meules produisent 5 sacs de farine par jour.
Marquis 96 et 105.
1881


1886


1888
Le 11 décembre, décès à 57 ans de l’ancien meunier du moulin d’En-Bas, Louis Chédeville, déclaré par Edmond Paulin Bouché meunier âgé de trente-neuf ans (qui lui succède comme meunier du moulin Bonté comme du moulin d’En-Bas).
Registre d’État civil d’Étampes (saisie Bernard Gineste, 2011; texte dans notre notice sur le moulin d’En-Bas); voir aussi notre notice sur le moulin de la Trinité.

1891


1898
Le meunier Bouché a pour adresse le n°3 [sic] de la rue de Saclas (mais aussi le n°7 rue Saint-Martin et le n°4 rue de la Digue), c’est-à-dire  qu’il tient non seulement le moulin Bonté mais encore le moulin d’En-Bas et le moulin de la Trinité ou de la Digue.
État des moulin de 1898, édition Gineste (ici)
1899


1899
Le 23 novembre, naissance au moulin de Saclas d’un fils du meunier (qui en 1901 est passé meunier du moulin d'En-Bas): “L’an mil huit cent quatre-vingt-dix-neuf, le vingt-trois novembre à deux heures du soir, par devant nous Édouard Joseph Béliard, maire de la ville d’Étampes, officier de l’état civil de la dite ville, département de Seine-et-Oise, officier d’académie, a comparu Paul Gabriel Bouvard, meunier, âgé de vingt-cinq ans, demeurant à Étampes rue de Saclas numéro trois, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin qu’il nous a dit être né aujourd’hui à huit heures et demie du matin, en son domicile, de lui et de Aline Félicité Louise Bouché, son épouse, sans profession, âgée de vingt-trois ans, avec laquelle il demeure, et à la quelle enfant il a donné les prénoms de Jacques Constantin Paulin. Les dites déclaration et présentation faites en présence de Edmond Paulin Bouché rentier âgé de cinquante ans, aïeul de l’enfant, et de Frédéric Alexandre Vrament, négociant en laine, âgé de cinquante-deux ans, cousin de l’enfant, demeurant tous deux à Étampes. Et ont le comparant et les témoins signé le présent acte avec nous maire susnommé, après lecture faite.  [Signé:] P. Bouché  Bouvard  E. Beliard F. Vrament.
Registre d’État civil d’Étampes (saisie Bernard Gineste, 2013)
1901


Début XXe siècle
La roue est retirée.
SV&SH 66 (sans référence)
1906


1909


1911


1912


1913


1921


1925


1935


1937
Le moulin est déclassé.
FG-ELP 113
1937
Pour obtenir le déclassement, le propriétaire doit démolir le déversoir et la vanne de décharge.
SV&SH 66 (sans référence)
???
Siège de l’imprimerie Bodin.
FG-ELP 113
1938
Une publication de l'imprimerie Bodin, à savoir la thèse de médecine de Marcel Silbertein, Contribution à l'étude de l'action de l'extrait testiculaire sur l'hypertrophie prostatique (in-8°, 48 pages, figures), Étampes, imprimerie de Bodin (Thèses de médecine de Paris de 1938, n°436), 1938.
Catalogue de la BnF.
1948


1958
Bodin Gaston, imprimeur, 17, rue de Saclas.”
Annaire Le Familial (ici)
1956-1960
Gaston Bodin, dont l’imprimerié était installée dans les locaux du moulin Bonté, était communiste; il employait alors un typographe, et deux autres ouvriers sur les machines. C’est lui qui a imprimé, après la Libération, les premiers numéros du journal étampois La Marseillaise. De 1956 environ à 1960 environ, par exemple, c’est lui aussi qui a imprimé le recto des cartes postales dentelées au bromure éditées par le photographe Robert Rameau, dont Bernard Paillasson était alors lui-même un employé. Il résidait dans un pavillon qui lui appartenait rue Saint-Martin, en face du Castel-Matho. Son langage était coloré.
B.G. (témoignage de Bernard Paillasson recueilli le 13 mars 2011, le jour même de ses 80 ans); Claude Bosc précise: “La Marseillaise de Seine-et-Oise a bien été imprimée par l’Imprimerie Bodin. N°1 du  7 octobre 1944, au prix de 2 francs, jusqu’au N°28 du 14 avril 1945. Ensuite, à compter du N°29 du 21 avril 1945, elle le fut par l’Imprimerie Spéciale de la Marseillaise. Travail exécuté par des ouvriers syndiqués. Cf. Archives Municipales, cote 12.1”.

années 1980 Transformé en “Résidence du moulin Bonté”.
FG-ELP 21 et 113; SV&SH 66
2011
Qui pourrait nous dire en combien dappartements il est divisé, et retracer son histoire la plus récente?


     Chacun est appelé à contribuer à cette enquête, les petits ruisseaux faisant les grandes rivières.

Première édition, B.G., 13 mars 2011.


Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
Contributeurs pour cette page

2010
Frédéric Gatineau
Renseignements tirés de son précieux Étampes sen lieux et places généreusement en ligne sur le présent Corpus Étampois dès 2003.
2010-2011
Bernard Gineste
Quelques recherches, synthèse provisoire et mise en page
2011
Bernard Paillasson
Bref entretien du 13 mars 2011.
2011
Claude Bosc
Courriel du 27 mars 2011

et vous?



BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE

Édition

     COLLECTIF, «Le moulin Bonté (compilation)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-moulinbonte.html, depuis 2010.

Autres sources

     Léon MARQUIS, Les rues d’Étampes et ses monuments, Étampes, Brière, pp. 96 et 105.

     Muriel GENTHON, Dossier d’inventaire: Moulins, Paris, Service régionale de l’Inventaire général Île-de-France, 1989.

     Frédéric GATINEAU, Étampes en lieux et places, Étampes, A travers champs, 2003, pp. 21 (Bonté) et 113 (Saclas).

     Michel MARTIN, «Artisans et commerçants de l’Ancien Régime à la Restauration», in Cahiers d’Étampes-Histoire 10 (2008), pp. 16-20, spécialement pp. 17 et 19.

     
COLLECTIF (Saint-Vrain et son histoire, ASME91, etc.), La Juine et ses moulins. La rivière et l’homme, sans lieu d’édition, La Juine et ses moulins, 2009, p. 66 (2 photos).

     Bernard GINESTE [éd.], «Quelques États des moulins d’Étampes (1801-1898)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-moulinsdetampes-etats.html, 2011.


Références d’archives

     Archives départementales de l’Essonne 7S 38 (cote donnée par GATINEAU 2003, p. 113, pour une mention en 1775).

     Archives municipales d’Étampes 3O D14: Pièces relatives au moulin de la rue de Saclas sur la Louette, 1800-1854 (inventaire de Clément Wingler).

Site de la FFAM

     FFAM (Fédération Française des Amis des Moulins), Le monde des moulins [site officiel], http://www.moulinsdefrance.org/, en ligne en 2011.

Autres moulins d’Étampes

     COLLECTIF, «Les moulins d’Étampes (compilation)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-moulinsdetampes.html, depuis 2010.

 

 
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