Corpus Scientifique Étampois
 
Philip Barker Webb & Sabin Berthelot 
Le genre Descurainia
1840
 
     AVERTISSEMENT: Les quelques pages que le Corpus Étampois consacre aux Descurainies sont pour l’instant un vaste brouillon sans prétention scientifique (à cet égard, il faut prendre l’expression Corpus scientifique en un sens très large du mot et avec beaucoup d’indulgence), vu que leur auteur-compilateur n’a pas la formation requise de botaniste pour en faire une œuvre de référence. On s’y efforce à la rigueur mais c’est plutôt pour l’heure une sorte de poème, qui attend les remarques et les améliorations que voudront bien lui donner d’hypothétiques bonnes volontés. Et la peste soit des esprits chagrins dont elles pourraient nourrir la bile! Merci d’y relever toutes les erreurs ou lacunes que vous y trouveriez pour nous les faire connaître.
              
     Le grand-père maternel de Jean-Étienne Guettard (1719-1791) s’appelait François Descurain, et c’était un apothicaire étampois (1658-1740). Esprit curieux, et correspondant des plus grands savant parisiens, comme Jussieu, il composa une Flore latine des environs d’Étampes, qui, après sa mort, fut mise en français et publiée par son petit-fils.      
     En 1840, Webb et Berthelot, dans leur célèbre Histoire Naturelle des Îles Canaries, créèrent le genre Descurainia, en hommage au pharmacien étampois qui avait si bien décrit le  sisymbre sagesse, alias sagesse des chirurgiens, autre représentant de ce genre végétal. Nous mettrons prochainement en ligne ce texte fondateur.    
     Depuis cette époque héroïque de la science botanique naissante, on a reconnu une vingtaine d’espèces du genre Descurainia. Le Corpus Étampois a décidé de répertorier toutes ces espèces, à la mémoire de notre glorieux pharmacien.   
     On voudra bien excuser les lacunes et erreurs de détail qui sans doute ne manqueront pas, au commencement, vu que notre documentation est pour l’heure faite de bric et de broc, aux hasards charmants de la Toile. Faites-nous les connaître!
 
   
Les Descurainies
Place dans la classification botanique et dénomination

     Regnum: Plantae — Phyllum: Spermatophyta — Subphyllum— Classis: Magnoliophytina (Angiospermae) — Subclassis: Rosidae — Superordo: Violanae — Ordo: Capparales — Familia: Brassicaceae (Cruciferae) — Genus: Descurainiae    

     Les auteurs de ce genre sont Philip Barker Webb et Sabin Berthelot, dans leur très célèbre ouvrage Histoire naturelle des îles Canaries, vol. III, II, 1, pp. 72-73 (fascicule paru en 1840). Son espèce type est  la Descurainia Sophia, appelée communément sisymbre sagesse.  

     Philip Barker Webb était né en 1793 à Milford House dans le Surrey, en Angleterre, dans une famille riche et noble. Il étudia les langues, la botanique et la géologie à Harrow et Oxford. Il commença à s’intéresser aux îles Canaries à l’occasion d’une expédition au Brésil. Il collecta de nombreux spécimens dans ces îles entre 1828 et 1830. Il acheva son travail de rédaction en collaboration avec Sabin Berthelot qui y avait vécu un certain temps en tant que consul de France. La rédaction de l’Histoire Naturelle des Îles Canaries prit une vingtaine d’années et le fascicule consacré à la botanique canarienne où fut créé le genre Descurainia parut en 1840.   
   
     Ce genre inclut à ce jour au moins une vingtaine d’espèces d’herbes annuelles ou bisannuelles d’Amérique, d’Europe et des îles Canaries. Comme il est assez proche des genres Sisymbrium et Hugueninia, l’attribution de telle ou telle espèce à tel ou tel genre a parfois été contestée. D’après le dictionnaire en ligne de l’Université de Princeton, le genre Descurainia n’est d’ailleurs pas encore adopté par tous les systèmes de classification.   
    

Caractères physiques

       On donne ici une description du genre empruntée à une page web de l’Université du Chili:   

  
     Calice à quatre sépales égaux et caducs. Quatre pétales entiers. Six étamines inégales. Style court ou inexistant, stigmate capité. Silique linéaire et oblongue, cylindrique, parfois toruleuse; valves mononervurées avec des nervures secondaires, ramifiées; cloison interne marquée de une à trois nervures longitudinales. Graines disposées en une à deux séries. Herbes annuelles ou bisannuelles, pubescentes ou canescentes, avec des poils ramifiés et glanduleux. Feuilles à une, deux ou trois ailes. Fleurs petites, jaunes ou blanches, en grappes terminales, sans bractées.  
     Espèce type : Descurainia sophia (Linné) Webb.  
     Genre représenté par une vingtaine d’espèces en Europe, aux Îles Canaries, en Amérique du Nord et du Sud.  
[traduction provisoire par Mme Castillo-Wingler]
 
 
Petit lexique 
pour botanistes débutants
(tiré pour l’essentiel de M.-N. BOUILLET, Dictionnaire universel
des sciences, des lettres et des arts, Paris, 1872)
     

      BIPINNÉ ou BIPENNÉ. Les botanistes donnent le nom de Bipennées ou Bipinnées aux feuilles composées dont pétiole commun porte latéralement des pétioles secondaires, munis eux-mêmes de folioles. 

      BRACTÉES (du lat. bractea, feuille de métal), petites feuilles, ordinairement colorées, qui accompagnent les fleurs de certaines plantes: tantôt elles soutiennent la fleur, en ajoutant à son éclat; tantôt elles l’enveloppent plus ou moins complètement: les plus petites s’appellent bractéoles. 

     CADUC (du lat. caducus, de cadere, tomber). En botanique, on appelle caduque toute partie d’un végétal qui ne persiste pas pendant toute la durée des organes dans la composition desquels elle entre: ainsi, le calice est caduc dans le Pavot, parce qu’il tombe avant la fleur; la corolle qui environne d’abord le fruit de la vigne est caduque et tombe bientôt; les stipules sont caduques dans plusieurs espèces de passiflores. 

     CALICE (du gr. kalux): En botanique, on donne ce nom à l’enveloppe la plus extérieure des organes de la fructification dans les fleurs qui ont un périanthe double. Tournefort et Linné nommaient aussi calice le périanthe simple, lorsqu’il est de couleur verte et peu apparent. Jussieu a nommé calice tout périanthe simple, quelles que soient sa couleur, sa consistance et sa forme. Le calice est monophylle ou monosépale, polyphylle ou polysépale, selon que ses folioles sont réunis dans une étendue plus ou moins grande, ou bien entièrement indépendantes les unes des autres. Dans le premier cas, si l’union des parties a lieu seulement à la base, cette portion inférieure est appelée le fond du calice; si elle a lieu jusqu’à une hauteur un peu considérable, la portion réunie se nomme tube: dans les deux cas, la portion où les sépales restent libres est appelée limbe. 

     CANESCENT (du lat. canescere, blanchir, notamment de vieillesse): blanchâtre. 

     CAPITÉ (du lat. capitatus), se dit, en botanique, de tous les organes terminés en tête arrondie.  

     ÉTAMINE (en lat. stamina), organes mâles des végétaux phanérogames, situés dans l’intérieur des enveolppes florales, entre la corolle et le pistil: leur ensemble s’appelle androcée. Chaque étamine est formée: 1° d’un filament délié appelé filet et quelque fois androphore; 20 d’une anthère, située à la partie supérieure du filet, et composée de deux petites poches adossées l’une à l’autre; 3° du pollen, espèce de poussière formée de très petits globules et contenue dans l’anthère. Quelquefois, les deux loges de l’anthère sont séparées par un support transversal appelé connectif. Les étamines sont dites monadelphes, lorsque leurs filets sont soudés entre eux de manière à ne former qu’un seul faisceau (Mauve); diadelphes, lorsqu’elles forment deux faisceaux distincts (Légumineuses); polyadelphes, lorsqu’elle en forment plus de deux (Orangers). On les nomme didynames lorsqu’il y en deux grandes et deux petites dans la même fleur (Labiées), et tétradynames lorsqu’il y en a quatre grandes et deux petites (Crucifères). On les appelle encore  hypogynes lorsqu’elles ont leur point d’insertion au niveau de la base de l’ovaire ou au-dessous (Graminées); périgynes, lorsqu’il est au-dessus (Rosacées); épigynes lorsqu’il est sur le pistil même (Orchidées). Enfin, les étamines sont dites syngénèses lorsque leurs anthères sont soudées entre elles, comme dans l’immense famille des Composées. 
     Grew est le premier qui ait appelé l’attention sur le rôle des étamines comme organes fécondants. Linné avait pris le nombre et la disposition des étamines pour base de son système de classification: il appelait les végétaux à une seule étamine monandres; ceux à deux étamines, diandres; à trois, triandres; à quatre, tétrandres; à six, hexandres; à sept, heptandres; à douze, dodécandres; à vingt, icosandres, et au delà, polyandres. A.-L. Jussieu s’est servi de leur insertion comme caractère des classes de sa méthode naturelle. 

     FOLIOLE (du lat. foliolum), chacune des petites feuilles articulées sur un pétiole commun et formant une feuille composée. — On appelle aussi folioles les pièces du calice (Voy. SÉPALE) et celle de l’involucre. 

     GRAPPE (du bas-lat. grappa;  de l’anc. ht-allem. Chrapfo, crochet), nom donné, en Botannique, à un assemblage de fleurs ou de fruits pendants le long et autour d’un pédoncule commun, comme dans les grappes de raisins, de groseilles, de fleurs d’acacia. La grappe se compose d’un axe primaire plus ou moins allongé portant de distance en distance des axes secondaires de longueur sensiblement égale. Quand ces axes secondaires sont ramifiés, la grappe prend les noms de panicule et de thyrse. L’épi et le corymbe ne sont que des modifications de la grappe. 

     PÉDICELLE (du lat. pedicellus) : On désigne sous ce nom chacune des ramifications du pédoncule et le pédoncule propre à chaque fleur dans un groupe de fleurs, comme les ombelles, les panicules. 

     PÉDONCULE (du lat. pedonculus). On appelle ainsi, en Botanique, le support de la fleur. C’est un véritable rameau, raccourci et presque avorté: il est nu ou chargé de feuilles réduites à l’état de bractées. Quand il est ramifié, ses dernières ramifications, terminées chacune par une fleur, s’appellent pédicelles (Lilas). Le pédoncule peut être uniflore, biflore, triflore, multiflore. Il naît le plus souvent à l’aisselle d’une feuille ou d’une bractée: il est pétiolaire, quand il semble naître du pétiole; épiphylle, quand il fait, pour ainsi dire, corps avec la nervure médiane du limbe de la bractée; alaire, quand c’est une sommité de tige réduite à porter une fleur, et dépassée par deux rameaux latéraux et divergents, nés de deux feuilles opposées. Quand le pédoncule naît d’une rosette de feuilles radicales, on l’appelle hampe. Le pédoncule offre quelquefois des articulations par où il peut se détacher (Asperge). 

     PÉTIOLE (du lat. petiolus, petit pied), nom donné, en Botanique, au support de la feuille. C’est un organe grêle, composé d’un nombre variable de faisceaux de fibres ou de vaisseaux qui se séparent les uns des autres, se divisent, s’anastomosent pour former former le réseau du limbe de la feuille (Voy. FEUILLE). Le pétiole s’attache à la branche, tantôt par un point très-rétréci, tantôt par une base élargie qui embrasse une grande portion ou même la totalité de la circonférence du rameau. Le pétiole peut être ailé, articulé, etc. 

     PINNÉ ou PENNÉ (du lat. pinnatus), se dit, en Botanique, des feuilles composées dont les folioles sont disposées de l’un et de l’autre côtés d’un pétiole commun, à l’instar des barbes d’une plume. 

     PUBESCENT (du lat. pubescere, se couvrir de poils), se dit, en Botanique, des parties de végétaux (tiges, feuilles, pétales), qui sont garnies de poils courts et fins, plus ou moins serrés. 

     SÉPALE, nom donné, en botanique, aux découpures ou folioles articulées, ordinairement vertes, qui constituent le calice des fleurs. La calice est nommé monosépale quand ces découpures sont adhérentes par leur bord, et polysépale quand les divisions sont parfaitement distinctes. 

     SILIQUE, SILICULE (du latin siliqua). En Botanique, on appelle silique un fruit sec, déhiscent, allongé, à deux valves et à deux sutures longitudinales opposées, ayant ses graines attachées alternativement à l’une et à l’autre suture. Elle est presque toujours partagée à l’intérieur en deux loges par une cloison dont le plan est parallèle à celui des valves. La silicule est plus large que longue, et ne contient souvent qu’une ou deux graines. (Voy. CAPSULE). — La silique et la silicule caractérise particulièrement la famille des Crucifères, que Linné avait désignées sous le nom de Siliqueuses. 

     STIGMATE (du lat. stigmatis, du gr. stigma). En botanique, on appelle stigmate l’extrémité supérieure du pistil: le stigmate est le plus souvent supporté par un style; il est sessile, c.-à-d. immédiatement attaché à l’ovaire, dans le Pavot, la Tulipe, etc. Il est terminal, s’il est situé au sommet du style ou de l’ovaire (Lis, Pavot); latéral, quand il occupe les côtés du style ou de l’ovaire (Renonculacées). 

     STYLE (du lat. stylus, du gr. stylos). En Botanique, le style est l’un des trois parties qui composent le pistil: c’est un prolongement de l’ovaire qui supporte le stigmate. Le style peut être unique ou multiple; il y a des plantes qui n’en ont point. Le styles est terminal quand il surmonte l’ovaire: c’est le cas le plus ordinaire; latéral, quand il naît de ses parties latérales (Rosacées); basilaire, quand il paraît naître de la base (Alchémille). 

     TERMINAL (du lat. terminalis), épithète donné aux parties des plantes qui occupent le sommet d’un organe quelconque: c’est ainsi qu’on dit:  bourgeon, style terminal, fleurs terminales, etc. 

     TORULEUX (du lat. torus, bourrelet), se dit, en Botanique, des parties de plantes qui sont renflées d’espace en espace sans offrir d’articulations: tels sont les fruits des Doliques, des Arachides, etc. 
 
Espèces connues du genre Descurainia
[ou plutôt: mentionnées par la Toile en janvier 2003:
(liste pour l’instant un peu confuse)]
    
    
Descurainia Altoandina M. C. Romanczuk (1984)
Descurainia Antarctica Otto Eugen Schulz (1924) 
Descurainia Appendiculata ? (?) 
Descurainia Argentina Otto Eugen Schulz (1924)
Descurainia Artemisioides Eric R. Sventenius (?)
Descurainia Bourgaena (Eugene Pierre Nicholas Fournier) Otto Eugen Schulz (1924)  (alias Descurainia Bourgeauana alias Bourgeana alias Bourgaeana!)
Descurainia Brachycarpa (Richardson) Otto Eugen Schulz (1924)    
Descurainia Pinnata (Walter) N. L. Britton subsp. brachycarpa (Richardson) Leroy Ellsworth Detling  
Sisymbrium canescens Thomas Nuttall var. brachycarpa (Richardson) Sereno Watson
Descurainia Brachypodum Otto Eugen Schulz (1924)  
Descurainia Halictorum (T. D. A. Cockerell) Otto Eugen Schulz fm. brachypodum Otto Eugen Schulz (Isotype)  (1924)
Descurainia Brevifurcata Juan B. Martinez-Laborde (?)
Descurainia Californica ? (?)
Descurainia Canescens ? (?)    
Sisymbrium Canescens Thomas Nuttall var. brachycarpa (Richardson) Sereno Watson
Descurainia Cumingiana (Friedrich Ernst Ludwig von Fischer et C.A.Mey.) Prantl (?)
Descurainia Californica (Asa Gray) Otto Eugen Schulz (1924)
 Descurainia Depressa (R. A. Philippi) K. Reiche
Descurainia Filiformis 
Descurainia Gilva Eric R. Sventenius
Descurainia Glaucescens (R. A. Philippi) Karl Anton Eugen Prantl ex K. Reiche
Descurainia Gonzalezi 
Descurainia Halictorum (T. D. A. Cockerell) Otto Eugen Schulz fm. brachypodum Otto Eugen Schulz (1924) (Isotype)     
Descurainia Halictorum (T. D. A. Cockerell) Otto Eugen Schulz var. osmiarum (T. D. A. T. D. A. Cockerell) Otto Eugen Schulz fm. brachypodum Otto Eugen Schulz (1924)
Descurainia Incana (Friedrich Ernst Ludwig von Fischer & Carl Anton Andreevitch von Meyer) R. D. Dorn   
Descurainia Incana ssp. incana   
Descurainia Incana ssp. incisa   
Descurainia Incana ssp. viscosa   
Descurainia Incana (Bernh. ex Friedrich Ernst Ludwig von Fischer & Carl Anton Andreevitch von Meyer) R. D. Dorn ssp. incana 
Descurainia Incisa (George Engelmann ex Asa Gray) Nathaniel Lord Britton     
Descurainia Incisa (George Engelmann ex Asa Gray) Nathaniel Lord Britton var. incisa     
Descurainia Incisa (George Engelmann ex Asa Gray) Nathaniel Lord Britton subsp. filipes (Asa Gray) Reed C. Rollins     
Descurainia Incisa (George Engelmann ex Asa Gray) Nathaniel Lord Britton var. filipes (Asa Gray) Noel H. Holmgren     
Descurainia Incisa (George Engelmann ex Asa Gray) Nathaniel Lord Britton var. paysonii (Leroy Ellsworth Detling) Noel H. Holmgren     
Descurainia Incisa (George Engelmann ex Asa Gray) Nathaniel Lord Britton var. viscosa (P. A. Rydberg) Noel H. Holmgren 
Descurainia Kochii 
Descurainia Lemsii
Descurainia Longipedicellata (Eugene Pierre Nicholas Fournier) Otto Eugen Schulz (1924) 
Descurainia Millefolia (Nicolaus Joseph Baron von Jacquin) Philip Barker Webb & Sabin Berthelot (1840)
Descurainia Myriophylla (Carl Ludwig von Willdenow ex Augustin Pyramus de Candolle) R. E. Fries
Descurainia Obtusa (Edward Lee Greene) Otto Eugen Schulz (1924)  
Descurainia Obtusa ssp. obtusa    
Descurainia Obtusa (Edward Lee Greene) Otto Eugen Schulz ssp. adenophora (Wooton & Standley) Leroy Ellsworth Detling
Descurainia Paradisa (A. Nelson & P. B. Kenn.) Otto Eugen Schulz (1924)  
Descurainia Paradisa (A. Nelson & P. B. Kenn.) Otto Eugen Schulz subsp. paradisa (1924)v    
Descurainia Paradisa (A. Nelson & P. B. Kenn.) Otto Eugen Schulz subsp. nevadensis (Rollins)  Noel H. Holmgren 
Descurainia Pimpinellifolia (François Marie Barnéoud) Otto Eugen Schulz (1924)
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) Nathaniel Lord Britton  
Descurainia Pinnata ssp. pinnata  
Descurainia Pinnata ssp. pinnata var. pinnata    
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) Nathaniel Lord Britton subsp. brachycarpa (Richardson) Leroy Ellsworth Detling    
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. filipes (Asa Gray) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton var. filipes (Asa Gray) M. Peck     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. glabra (Wooton & Standl.) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton var. glabra (Elmer Ottis Wooton & Paul Carpenter Standley) Lloyd Herbert Shinners     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. halictorum (T. D. A. Cockerell) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton var. halictorum (T. D. A. Cockerell) M. Peck     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. intermedia (Per Axel Rydberg) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton var. intermedia (Per Axel Rydberg) C. L. Hitchc.     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. menziesii (Per Axel Rydberg) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. nelsonii (Per Axel Rydberg) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton var. nelsonii (Per Axel Rydberg) M. Peck  
Descurainia Pinnata ssp. ochroleuca    
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton var. osmiarum (T. D. A. Cockerell) Lloyd Herbert Shinners     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. paradisa (A. Nelson & P. B. Kenn.) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton var. paradisa (A. Nelson & P. B. Kenn.) M. Peck     
Descurainia Pinnata (Thomas Walter) N. L. Britton subsp. paysonii Leroy Ellsworth Detling 
Descurainia Pinnatifida 
Descurainia Preauxiana 
Descurainia Pulcherrima 
Descurainia Ramosissima Reed C. Rollins
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz (1924)     
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz subsp. Richardsonii     
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz var. brevipes (Thomas Nuttall) S. L. Welsh & Reveal     
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz subsp. incisa (George Engelmann) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz var. macrosperma Otto Eugen Schulz (1924)     
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz var. Sonnei (Benjamin Lincoln Robinson) C. L. Hitchc.     
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz subsp. viscosa (Per Axel Rydberg) Leroy Ellsworth Detling     
Descurainia Richardsonii (Robert Sweet) Otto Eugen Schulz var. viscosa (Per Axel Rydberg) M. Peck 
Descurainia Rubescens 
Descurainia Sophia (Carl Linnaeus) Philip Barker Webb 
Descurainia Sophioides (Friedrich Ernst Ludwig von Fischer ex Hook.) Otto Eugen Schulz (1924)
Descurainia Streptocarpa
Descurainia Stricta (R. A. Philippi) Karl Anton Eugen Prantl ex K. Reiche
Descurainia Torulosa Reed C. Rollins 
    
BIBLIOGRAPHIE

Philip Barker Webb      Philip Barker WEBB & Sabin BERTHELOT, Histoire naturelle des îles Canaries [3 tomes en 9 vol. in-f°; 1 atlas grand in-f°; armoiries; lithogr.; ouvrage publié d'abord en 106 livraisons de 1835 à 1850], Paris, Béthune.    
     I, 1. L'Ethnographie et les annales de la conquête [portr.; pl.; fig.], 1842.    
     I, 2. Les Miscellanées canariennes [fig.; portr.; pl. en noir & couleur], 1839.    
     II, 1. La Géographie descriptive, la statistique et la géologie [Catalogue de quelques produits volcaniques des îles Canaries, par Don Francisco Escolar, Catálogo de algunos productos volcánicos de la Isla de Tenerife] [fig.; cartes], 1839.    
     II, 2. La Zoologie [Reptiles des îles Canaries, recueillis par MM. P. Barker Webb et S. Berthelot et décrits par M. Paul Gervais; Ornithologie canarienne, par MM. P. B. Webb, S. Berthelot et M. Alfred Moquin-Tandon; Ichthyologie des îles Canaries, ou Histoire naturelle des poissons rapportés par MM. P. B. Webb et S. Berthelot et décrits par M. A. Valenciennes; Mollusques, échinodermes, foraminifères et polypiers recueillis... par MM. Webb et Berthelot et décrits par Alcide d'Orbigny]. Entomologie [Animaux articulés recueillis... par MM. Webb et Berthelot et décrits par MM. Brullé pour les crustacés et la plus grande partie des insectes, H. Lucas pour les arachnides et les myriapodes, Macquart pour les insectes diptères] [fig.; pl. en noir & couleur], 1836-1844.     
     III, 1. La Géographie botanique [fig.], 1840.    
     III, 2. Sectio I-III. Phytographia canariensis [fig.; pl.], 1836-1850 [le genre Descurainia est est traité aux pages 72-73 du fascicule III.II.I, paru en 1840]    
     III, 2. Sectio ultima. Phytographia canariensis [Plantae cellulares, auctore Camillo Montagne] [fig.; pl.], 1840.     
     Atlas [grand in-f°; pl.; cartes en noir & en couleur], 1838.     
   


  
 
     René de SAINT-PÉRIER, «Les Plantes des environs d’Étampes au XVIIIe siècle (1923)» [édition illustrée], in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cse-18-descurain1923saintperier.html, 2003.  
  
     M. C. ROMANCZUK, «New species of the genus Descurainia (Cruciferae)», in Hickenia 2/5 (1984), pp. 27-32.   
     
     Clodomiro MARTICORENA, Francisco A. SQUEO,Gina ARANCIO & Mélica MUÑOZ, «Capítulo 7: Catálogo de la Flora Vascular de la IV Región de Coquimbo», in F.A. SQUEO, G. ARANCIO & J.R. GUTIÉRREZ [éd], Libro Rojo de la Flora Nativa y de los Sitios Prioritarios para su Conservación: Región de Coquimbo, La Serena (Chile), Ediciones Universidad de La Serena, 2001, pp. 105-142 [dont une édition numérique au format PDF, http://www.biouls.cl/lrojo/Manuscrito/Capitulo%2007%20Catalogo.PDF, en ligne en 2003].   
     [On y répertorie, p. 12, dans la région de Coquimbo quatre espèces natives de Descurainies: 1. Descurainia cumingiana (Fischer & Meyer) Prantl: endémique, vulnérable (provinces d’Elqui, Limari et Choapa). — 2. Descurainia glaucescens (Philippi) Prantl ex Reiche: annuelle ou bisannuelle, native non endémique, peut-être éteinte (province d’Elqui, communes de Vicuña et de Paihuano). — 3. Descurainia pimpinellifolia (Barnéoud) O. E. Schulz: annuelle, native non endémique, hors de péril (province d’Elqui et de Limari). — 4. Descurainia stricta (Philippi) Prantl ex Reiche: annuelle ou bisannuelle, endémique, peut-être éteinte (province d’Elqui, commune de Vicuña).]  
  
     DIRECTION GÉNÉRALE DE LA RECHERCHE, AGRICULTURE ET AGROALIMENTAIRE [Canada], «Les brassicacées du Canada», http://sis.agr.gc.ca/brd/brass/intro_f.htm (Dernière modification: 04.07.2000; n’est plus en ligne en 2003 mais seulement gardée en mémoire par Google).  
   
     UNIVERSIDAD DE CHILI [?], Flora de la Cuenta de Santiago. Tome II, chap. 20 (Cruciferae) [dont une version au format PDF, http://mazinger.sisib.uchile.cl/repositorio/lb/ciencias_quimicas_y_farmaceuticas/navasl02/03/cruciferae.html, en ligne en 2003], §10 (Descurainiae).  
     Description du genre Descurainia: «Cáliz con 4 sépalos, iguales, caducos. Pétalos 4, enteros. Estambres 6, desiguales. Estilo corto o nulo; estigma capitado. Silicua lineal o linealoblonga, cilíndrica, a veces torulosa; valvas uninervadas con nervios secundarios ramificados; replo con 1-3 nervios longitudinales. Semillas dispuestas en 1-2 series. Hierbas anuales o bienales, pubescentes o canescentes, con pelos ramificados y glandulosos. Hojas 1-3 pinnadas. Flores pequeñas, amarillas o blancas, en racimos terminales, sin brácteas. — Especie tipo: D. sophia (L.) Webb. — Género con 20 especies de Europa, islas Canarias, Norteamérica y Sudamérica. En Chile, unas lo especies.»
     Sources: La Toile en décembre 2002. Voir la bibliographie.
   
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